Commentaire Jean-Pierre
Surtout, ne pas prendre la météo pourrie à la lettre !
Encore une preuve hier mercredi 5 du pessimisme de certaines cartes météo qui englobaient les Pyrénées dans une dépression atlantique...
Bref, onze courageux optimistes (ou inconscients ?) se lancèrent à 9 h 15 précise à l’assaut de la redoutée face nord-est par Agos du prestigieux Pibeste par un (long) détour en piémont afin d’atteindre les 1000 m fatidiques de dénivelé nécessaires à la renommée de l’opération...
Une première française sans oxygène, sans camps intermédiaires et sans sherpas, mais guidée par le prestigieux sirdar Yves Azelmeyer et ses (très) longues jambes.
Après avoir failli perdre un équipier parti faire pipi dans une mauvaise direction et s’être en conséquence perdu (G...nous tairons son vrai nom pour ne pas lui faire honte), mais récupéré grâce à Christiane et au talkie-walkie d’Yves, la cordée des onze parvint au sommet sans pertes, pique-niquant sur la terrasse au soleil pour niquer...les météorologues !
Une visite guidée par Yves du nouveau local de la gare d’arrivée restaurée (mais pour servir à quoi ?) clôtura cette expédition réussie, avec retour plus calme par Ouzous et tarte au chocolat mémorable (un prix Nobel de pâtisserie ?) de Christiane.
Surtout, ne pas prendre la météo pourrie à la lettre !
Encore une preuve hier mercredi 5 du pessimisme de certaines cartes météo qui englobaient les Pyrénées dans une dépression atlantique...
Bref, onze courageux optimistes (ou inconscients ?) se lancèrent à 9 h 15 précise à l’assaut de la redoutée face nord-est par Agos du prestigieux Pibeste par un (long) détour en piémont afin d’atteindre les 1000 m fatidiques de dénivelé nécessaires à la renommée de l’opération...
Une première française sans oxygène, sans camps intermédiaires et sans sherpas, mais guidée par le prestigieux sirdar Yves Azelmeyer et ses (très) longues jambes.
Après avoir failli perdre un équipier parti faire pipi dans une mauvaise direction et s’être en conséquence perdu (G...nous tairons son vrai nom pour ne pas lui faire honte), mais récupéré grâce à Christiane et au talkie-walkie d’Yves, la cordée des onze parvint au sommet sans pertes, pique-niquant sur la terrasse au soleil pour niquer...les météorologues !
Une visite guidée par Yves du nouveau local de la gare d’arrivée restaurée (mais pour servir à quoi ?) clôtura cette expédition réussie, avec retour plus calme par Ouzous et tarte au chocolat mémorable (un prix Nobel de pâtisserie ?) de Christiane.