Commentaire Jean-Michel
Groupe de 13 randonneurs transperçant le plafond nuageux pour se retrouver au pont d’Espagne sous un timide soleil.
Remontée rive gauche du gave du Mercadau, plus « branché » : marmotte, isard, salamandre.
Nous longeons les lacs d’Embarras (cirque lacustre suspendu).
Notre pas triste Patrice angoisse qu’une fille ne se mette dans l’embarras en tombant dans le lac.
Passage au col puis au lac du Pourtet (petit port), remontée entre les blocs granitiques et les névés résiduels vers le magnifique lac de Bassia (grande cuvette ou cirque).
Le soleil pimpant nous réchauffe lors du repas agrémenté d’un délicieux saucisson maison de Claude et du traditionnel sucre à l’Armagnac de Michel.
Nous décidons à l’unanimité moins les abstentionnistes de revenir en boucle par le refuge Wallon.
Claude nous recommande de bien lacer nos chaussures pour la descente où il ne tarde pas à louper un lacet du sentier en faisant un tout droit, puis se fait pardonner par un délassement généralisé sur l’herbe de la chapelle où le délacage est autorisé.
Pot en terrasse aux cascades de la Raillère avec une tourte maison de Jocelyne.
Merci à Claude qui mérite son numéro 19 d’accompagnateur.
Groupe de 13 randonneurs transperçant le plafond nuageux pour se retrouver au pont d’Espagne sous un timide soleil.
Remontée rive gauche du gave du Mercadau, plus « branché » : marmotte, isard, salamandre.
Nous longeons les lacs d’Embarras (cirque lacustre suspendu).
Notre pas triste Patrice angoisse qu’une fille ne se mette dans l’embarras en tombant dans le lac.
Passage au col puis au lac du Pourtet (petit port), remontée entre les blocs granitiques et les névés résiduels vers le magnifique lac de Bassia (grande cuvette ou cirque).
Le soleil pimpant nous réchauffe lors du repas agrémenté d’un délicieux saucisson maison de Claude et du traditionnel sucre à l’Armagnac de Michel.
Nous décidons à l’unanimité moins les abstentionnistes de revenir en boucle par le refuge Wallon.
Claude nous recommande de bien lacer nos chaussures pour la descente où il ne tarde pas à louper un lacet du sentier en faisant un tout droit, puis se fait pardonner par un délassement généralisé sur l’herbe de la chapelle où le délacage est autorisé.
Pot en terrasse aux cascades de la Raillère avec une tourte maison de Jocelyne.
Merci à Claude qui mérite son numéro 19 d’accompagnateur.