Dimanche 5 "Octobre Rose"
Rendez vous à 9h au parc
Stand des Montagnards
pour une balade de 5 ou 10 kms
Accès Programme
- Ce que vous devez savoir
- Généralités secours en montagne
- Fond de sac
- Marche en groupe
- Progression en crampons
- Convention Thermes Argeles
- Pratique environnementale
- Règlement intérieur
- Sécurité
- Informations Ski de Randonnée
- Notices DVA
Aujourd'hui, notre présidente avait mis sa casquette d'organisatrice (au propre comme au figuré 😉)
Elle a choisi une destination peu fréquentée : le lac d'Ausseilla, situé au fond de la vallée de Bouleste, dans ce toujours beau Val d'Azun.
Le départ se fait du barrage du Tech, bien rempli en cette fin d'été.
28 vaillants montagnards s'élancent sur un sentier plutôt raide, dans une forêt de noisetiers. Très vite, les couches superflues rejoignent les sacs....
La cabane de Bouleste se présente à nos yeux après les estives de Mauba où paissent déjà vaches, chevaux et moutons.
C'est le lieu idéal pour la "pause banane" et c'est là que nous avons rencontré Philippe, un berger passionné par son métier.
Il s'est montré ravi de nous parler de sa passion. Selon lui, le passage des MA a plus que doublé les visiteurs du Lac !!
Il possède un beau troupeau de brebis lourdaises, race en voie de disparition. Pourtant, caractérisées par leur "bon pied" et leur "bon nez", elles sont tout à fait adaptées à la vie en montagne (toute ressemblance avec des personnes connues, etc, etc ...).
Philippe nous accompagne jusqu'à ses cabanes, posées au printemps par hélicoptère, sur un replat avant la montée au lac. Il nous fait l'honneur d'une visite guidée tout en racontant les nombreuses difficultés rencontrées dans sa pratique. Quel métier, presque un sacerdoce!!! Ours et loup menacent parfois son troupeau et l'aide de deux patous (défense des brebis) et de deux border collies (rassemblement des bêtes) lui est fort précieuse.
Munis de toutes ces informations, nous attaquons le dernier rapaillon, bien minéral, pour atteindre le lac, au niveau assez bas, où nous prendrons notre pique-nique.
Après la traditionnelle photo de groupe, la descente se fait tranquillement, au rythme de chacun, le long du ruisseau du Labas. Certains ont cueilli quelques coulemelles qui promettent une bonne soupe 😋, tandis que d'autres contemplaient une bande de vautours s'occupant d'un cadavre de vache.
Pour clôturer, cette journée, un arrêt chez l'ami Jean-Pierre, sur sa terrasse ombragée, où diverses friandises ont régalé nos papilles.
Merci Annie pour cette belle randonnée de 13 km et 1000 m de D+
Merci aussi au serre-file Mireille
Commentaire Annie
Changement de parcours ce samedi, nous sommes 15 à découvrir ou redécouvrir le sentier au fil de l'eau à Aucun en marche nordique.
Ce parcours nous mènera à la zone humide de la Hiasse, passage au moulin à eau du Boularic, les berges du gave d'Azun, la forêt alluviale, puis nous emprunterons le chemin de Then où Rosy montrera aux nouveaux adhérents les différents sentiers menant au pic de Pan, au rocher d'escalade et de via ferrata.
Le soleil est au rendez-vous, la vue sur Les Gabizos, le pic du Midi d'Arrens est magnifique, de belles couleurs nous rappelant que le Val d'Azun est le plus bel endroit des Pyrénées 😀😉.
Rosy n'en oublie pas pour autant d'initier les nouveaux adhérents aux bons mouvements et pour les autres de perfectionner l'allure afin de synchroniser les bons gestes..
Ce parcours est ludique, une invitation à la " zénitude" et à l'histoire du village d'Aucun avec ses moulins, l'eau essentielle dans l'architecture et l'organisation du village.
Merci à nos deux organisatrices Rosy et Michelle pour cette marche🚶♀️🚶♀️🚶♀️🚶♀️🚶♀️🚶♀️🚶♀️🚶♀️🚶♀️🚶♀️🚶♀️🚶♀️🚶♀️🚶♂️🚶♂️...
Dénivelé 250m et 9kms.
Commentaire Annie
Six ans après, les MA repartent en Ariège au Mont Valier, sommet emblématique de la région.
Nous sommes 15 avec nos 2 Alain qui vont nous faire découvrir cette partie de L' Ariège.
-Premier jour
Rendez-vous à Castillon en Couserans où nous retrouvons nos 2 organisateurs pour un petit déjeuner au bar " Le Picolo"
Il reste 20 mn en voiture pour arriver au point de départ le pla de la Lau.
C'est parti, petit départ en douceur et relativement plat, le temps de s'echauffer..puis terminé 😝😜.
Ça va monter continuellement jusqu'au refuge des Estagnous.
La vue est dégagée, passage à la magnifique cascade de Nérech, la pente s'accentue, petite frayeur sur ce chemin étroit et escarpé où les vaches se sont plantées au milieu du chemin 😥😩😨..un coup de queue ou de corne, et c'est la " cata".
Il faudra couper à travers les herbes et les cailloux..plus de peur que de mal.
La randonnée se poursuit, panorama sur l'étang Rond, l'étang Long, plus nous prenons de l'altitude et plus les couleurs sont belles.
Le toit du refuge des Estagnous apparaît..quel plaisir !
Le gardien du refuge et ses collègues nous accueillent chaleureusement, c'est ça des gardiens de refuge 👍.
Une grande terrasse, exposée au soleil, une bonne bière ou boisson rafraîchissante..que du bonheur !
Après avoir repéré le dortoir, une bonne douche..c'est l'heure de l'apéro..sangria pour tout le monde.
Repas à 19h, le refuge est complet, menu apprécié et en quantité.. repus, ii nous attend un spectacle grandiose, le coucher du soleil sur les montagnes🤩🤩🤩
Puis dodo, enfin repos ..la journée de demain sera bien remplie !
Dénivelé 1300m, 9kms
-Deuxième jour
Lever 6h, petit déjeuner et départ 7h15 pour le Mont Valier
La température est idéale, montée à l'ombre.
Nous arrivons assez vite au col de Faustin, à gauche le Mont Valier, il reste environ 200m de dénivelé.
Dans la montée, beaucoup de jeunes gens redescendent, chance inouïe, nous serons les seuls au sommet à profiter du panorama, prises de photos, nous nous en sommes donnés "à cœur joie ", sur ce beau sommet !
Il est temps de descendre et d'aller faire une petite virée au Petit Valier, alléģés de nos sacs, petite grimpette par la cheminée, ludique et aménagée depuis peu, nous n'avions pas eu ces prises, il y a 6 ans.
Une belle surprise, nous attendait au sommet.. que je ne dévoilerais pas😉😀.
L' Aneto, le massif de la Maladéta sont en ligne de mire et nous rappellent de bons souvenirs.
La randonnée va se poursuivre, il faudra redescendre à mis chemin du refuge des Estagnous pour monter jusqu'au col de Pécouch, rejoindre l'étang de Milouga par une descente scrabeuse, infernale..le pique-nique sera le bienvenu au bord du l'étang pour nos pieds et notre bien-être 👌.
Il faut repartir, traversée en balcon, quelques remontées puis la descente interminable de 136 lacets😨 comptabilisés par un de nos montagnard😫.. c'est dingue!
Dénivelé positif cumulé 1000m, dénivelé négatif 2200m, 18 kms
Retour au point de départ avec une équipe fatiguée mais ravie de cette virée en Ariège, comme a dit une montagnarde : "L' Ariège , c'est la montagne courage"
Un grand Merci à nos 2 Alain et bravo à tous les participants 👏👏👏👏
Le rendez-vous est pris pour l'année prochaine, on compte sur vous👌
Photos Annie J1 montée au refuge des Estagnous
Photos Annie J2 montée au mont Valier, Petit Valier, retour par le lac Milouga au point de départ le pla de la Lau Photos Fabienne Photos Marco
Commentaire Monique R.
Deux jeunes filles et quatre gaillards sont au rendez-vous matinal pour gravir le Pic de Batboucou (2651m) rebaptisé Pic de Pasbeaucoup.
Départ du Plan d'Aste. Montée régulière et d'un bon train jusqu'au refuge et lac de Migouélou.
Après une petite pause nous continuons vers notre objectif du jour sautant allègrement de blocs en blocs. Nous passons près des différents lacs et grimpons par la crête menant au sommet. Superbe vue sur la vallée de Soussouéou et le petit train d'Artouste.
Arrivée au sommet. Somptueux panorama. Nous prenons notre temps et nos GO du jour Bertrand et Thierry nous donnent les noms de tous ces prestigieux pics.
Nous ne savons plus où poser nos yeux. C'est un observatoire de choix. La météo est parfaite et nous en profitons. Mais il faut penser à repartir.
Après cette grande pause nous visons la passerelle du lac de Lassiédouat pour descendre, la conduite forcée puis le lac des Touest.
Merci à nos GO du jour pour cette très belle boucle de 16 km et 1400M de D+
Commentaire Rosy
Le retour d'un temps plus clément amène de plus nombreux marcheurs et marcheuses, ce matin.
Le nez vers le soleil, nous commençons notre sortie en allant vers le joli village de Boô, en empruntant la rive gauche du Gave. L'allure est soutenue sur des sentiers presque déserts, à part quelques promeneurs matinaux.
Arrivés au pont en fer, nous nous offrons une halte "hydratation" pour mieux repartir en direction de Boô et sa jolie petite église. Le temps de la photo du jour et nous reprenons les sentiers pour le retour vers les véhicules.
Les sentiers du bord du Gave sont toujours aussi agréables sous nos pas.
Sans encombres, nous revenons au parking de Lau Balagnas pour les étirements de fin de sortie.
Jolie boucle de 8 km 900 faite par 17 marcheuses et 3 marcheurs en 1h58 sans dénivelé particulier.
Bon week-end à tous et à bientôt...👏👏
Commentaire Annick O.
Ce vendredi 22 août, ce sont 18 montagnard(e)s, sous leurs ponchos, qui sont montés gaiement à la cabane de Bouis au départ de Gazost.
Menés par Cathy, qui réalise sa deuxième sortie, bien préparée et qui nous annonce le programme : "ne cherchez pas la cabane sur les cartes, ni les pancartes sur le sentier..."
À la queue leu leu, à travers une fine bruine, nous suivons donc Cathy,
très concentrés, car il y a à la clé de cette escapade, un jeu et un cadeau à gagner !
Faute de pouvoir admirer le paysage, nous regardons nos pieds afin de compter les lacets, pas ceux de nos chaussures mais ceux qui nous mènent à la cabane,
eh oui ! c'est la 1ere question "combien de lacets" , il faut dire que les discussions font perdre un peu le fil ...
Traversant prairies et fougères au son des cloches, nous découvrons enfin la cabane de Bouis dans le brouillard, accompagnée de son fidèle voisin, un bel arbre un peu manchot.
Inutile d'aller plus loin comme l'aurait souhaité Cathy (estives et abreuvoirs) car il est bienvenu cet abri pour s'y réfugier au sec, et assez grand pour nous contenir tous.
Refait récemment de béton et de bois (avec un joli plancher au dessus de nos têtes mais sans échelle) nous décidons, bien qu'il ne soit que 11h30, d'y casser la croûte.
Assis au sol, les uns contre les autres, partageant friandises divers et surtout les nougats de Bernard et le gâteaux aux myrtilles de Fatima.
Tout cela avec une oreille attentive, car Cathy poursuit avec l'histoire de Gazost des eaux, des thermes (4 sources sont exploitées depuis 1885 sur les 9 que compte Gazost découvertes en 1852. Eaux sulfureuses, aux propriétés cicatrisantes, on y soigna les soldats de Crimée en 1856 )
Attention deuxième question : " comment s'appelait Argelès avant de prendre le nom de Argelès-Gazost ? "
Une question subsidiaire sera nécessaire pour départager nos deux gagnants :
" Combien d'habitants à Gazost?" le plus près de la bonne réponse gagne une fiole de génépi 2023 cueilli au Vignemale .
Je la boirai à votre santé à tous, promis !
Il faut quitter notre refuge pour la photo souvenir et redescendre en faisant une boucle par la route de la scierie avec un petit arrêt à l'endroit où une maison a été emportée par un glissement de terrain en ????? 2015 (rien à gagner)
Une belle sortie humide mais bien animée par Cathy et une équipe joyeuse.
Sortie inédite qui laissera de bons souvenirs avec 475m D+ 9,3kms
et pot aux voitures.
Merci Cathy et à bientôt
Merci à Mireille notre serre-fil et à Jean-Michel notre photographe
réponses aux questions 1) 14 lacets
2) Argelès-Vieuzac
3) 129 habitants
Après la canicule des jours derniers, le temps est frais et menaçant. Dès 500m de marche la pluie s'invite et va nous accompagner tout au long du parcours
Aussi, avons-nous décidé de rester à l'abri des arbres dans le secteur du Balanbrau et de raccourcir notre sortie
Nous étions 13 marcheurs et avons parcouru 5km800 sur des chemins pratiquement plats
A bientôt Michelle
Commentaire Annie
Le trio MME nous avait concoctés une randonnée inédite au pic du Contadé.
Au programme, il était prévu en option le pic des Quatre Termes.
Tout le monde se rappelle des options proposées lors des examens afin de gagner des points et de ce fait, avoir plus de chance de comptabiliser ces points pour réussir son examen.
Nous n'avons pas eu besoin d'y remédier..nous avions notre "compte" au sommet du Contadé😀🤣😂.
Pour revenir à la randonnée, jusqu'au refuge de Campana de Cloutou, c'est de la randonnée classique, ensuite après le lac de Campana, le cheminement est plus hasardeux même s'il y a beaucoup de cairns mais nos GO étaient venus en éclaireur quelques jours avant avec la canicule.
Ce dimanche, nous avons bénéficié d'un ciel voilé et d'une température clémente agrémentée d'une brise bienvenue, il fallait ça, les montées étaient bien raides et en plus nous avons eu droit aux montagnes russes, sur des blocs, beaucoup de blocs compensés par de belles vues, beaucoup de lacs🤩🤩.
Retour sur le barrage de Gréziolles inédit, lui aussi, et des framboises en quantité conséquente (histoire de raviver nos papilles😋) au milieu de cet environnement assez minéral.
Autant vous dire que nous sommes rentrés tard après 10h30 de marche (pauses comprises), une heure au sommet le temps du pique-nique face à un panorama à 360 degrés, 1510m de dénivelé, 18,9 kms.
Merci à l'équipe des GO pour votre entraide (blocs et passages délicats), la bonne humeur, la découverte de cette randonnée 👍, très intéressante à faire par Gréziolles..
Bravo aux 17 MA👏👏👏
Commentaire Rosy
Au rendez-vous de ce matin, de nombreux retours de vacances😘😘😘 pour notre plus grand plaisir.....
Il fait déjà chaud aussi nous optons pour une sortie le long du Gave en direction du petit pont en bois, entre Boô et Lugagnan.
Nous partons d'un bon pas dynamique le long de la rive gauche du Gave, croisant bon nombre de caravanes et de voitures de touristes. A l'ombre des arbres bordant le sentier, nous en profitons pour maintenir une bonne allure.
Les arrêts, pour nous hydrater, sont réguliers à l'aller .....et plus nombreux au retour...
Arrivés au petit pont en bois, nous prenons la photo de groupe, choisissant le moment opportun entre les vélos, rollers et VTT qui utilisent la voie verte 😘😘😘
Le trajet retour se fait sans encombres.....Pour certaines personnes, en essayant d'éviter les assauts des moustiques, les arrêts durent moins longtemps ☺☺☺.
Belle boucle de 10 km 800 faite par 18 marcheuses et marcheurs en 1h 55 de déplacement . Bravo à tout le monde 👏👏👏
C'est la canicule!
Nous sommes 16 et nous engageons sur un circuit tranquille. OUZOUS aller retour
Nous partons par la plaine et le chemin du comte. La température est encore agréable
La montée sur Ouzous se fait par le chemin des bambous ombragé à souhait
Retour par le Balandrau où, là aussi les arbres et l'ombrage sont les biens venus
Parcours de 9km200 et 200m de dénivelé
A bientôt Michelle
Commentaire Monique R.
C'est une boucle inédite que nous propose Bernard notre GO du jour : le Pène det Pouri 2587m (sommet des poulains) en boucle depuis Hautacam.
Départ de la Mulata à 6h30. La température est agréable et la troupe des 9 MA marche d'un pas décidé vers le lac de Bassias.
Arrivés au col, nous descendons le vaste vallon sauvage face aux Aiguillettes que nous admirerons des 2 côtés.
Nous attaquons le plat de résistance soit la montée raide vers l'objectif du jour où nous attend une superbe vue sur la chaîne.
Mais voilà nous sommes accueillis par une nuée de fourmis volantes très agressives. Nous admirerons quand-même ce magnifique décor et décidons de descendre dare dare un peu plus bas pour la pause déjeuner.
Ensuite nous enchaînerons les montagnes russes : descente au lac bleu du Chiroulet, montée au col de Bareilles, descente au lac d'Ourrec et dernière montée à la Hourquette pour retrouver les voitures.
Un rapide sondage de nos jambes nous annonce D+1500M environ pour 21km environ.
Merci Bernard pour cette belle boucle et aux différents serre-files.
Commentaire Rosy
Un samedi, pas comme les autres, puisque nous nous rendons du côté du Col du Soulor pour notre sortie ...
Profitant de la période estivale, nous sommes ravi(e)s de pouvoir parcourir d'autres sentiers que ceux de la Vallée ....et aujourd'hui, cap sur le lac de Soum 😍😍😍
Parti(e)s avec 19°C d'Argelès, nous arrivons avec 21°C au Parking de "La Tachouère", juste en dessous du Col du Soulor, et il n'est même pas 9 heures 😅😅😅 Nous y retrouvons Dominique d'Arrens ainsi que Danielle et Gérard ....
Après l'échauffement, nous voilà pleins d'allant....... Les sentiers de skis de fond du Soulor nous tendent les bras...😉😉😘😘😘
Alternance d'ombre et de plein soleil, notre groupe de marcheuses et marcheurs ( sous la surveillance d'un vautour...) parvient à la bifurcation donnant, sur la gauche, au col de Soum....
Petite grimpette avant de pouvoir admirer le Lac de Soum et les troupeaux venus s'abreuver.....Ce que verrez sur la photo de groupe d'aujourd'hui...
La Cabane de Cantau est notre second objectif et pour l'atteindre, nous prenons le sentier des crêtes avec un panoramique à 360° de toute beauté......
Ce sera une première fois pour Ulrick et Eliane d'Ayzac....ce qui ravit le groupe Marche Nordique ...😍😍😍
Au loin, la chaleur rend les paysages cotonneux mais le Grand Gabizos se dresse devant nous, dans toute sa splendeur...
Pour le retour, nous prenons les lacets du sentier dans les bois (comme conseillé par Gérard) pour revenir au parking de départ
Belle boucle de 10 km faite par 11 marcheuses et 4 marcheurs en 1h 45 de déplacement et 2h 13 au total sans oublier les 350m de dénivelé cumulé.......Bravo à tous les participants 👏👏👏👏
Jeudi prochain 14 août, rendez-vous pour Pierrefitte / Cauterets, avec pique-nique....
Pour ceux qui suivent les commentaires, nous étions charentais ce matin.
Nous voilà donc parti pour le plateau du Lienz. Peu de monde, mais il est vrai qu’il est tôt ⏰🥱, nous pouvons donc nous garer sous les arbres afin d’anticiper la chaleur de l’après-midi.
C’est parti pour notre GO du jour, Guy attaque direct vers le camp Rollot, avait-il quelque chose à se faire pardonner ???? Après le premier raidillon, l’allure redevient plus raisonnable et nous cheminons tranquillement sur la piste. Ca papote, rigole et même certains remarquant des framboisiers sauvages complètent leurs petits déjeuners.
Le soleil n’ayant pas encore passé les sommets est, la température est agréable. Mais çà ne va pas durer, dès que l’astre nous illumine nous ressentons quelquessssss degrés de plus.😎
Nous progressons jusqu’au refuge de la Glère où nous faisons une pose sur les bancs extérieurs puis continuons jusqu’au lac de Coume Escure, paisible, personne, se sera donc notre lieu pour déjeuner après un léger apéro et suivi d’un café amélioré 🍽️. Les ventres repus, pensons à nos pauvres pieds, séance de fish pédicure dans le lac avec les Garra Rufa remplacé par des pesquits.( un treck en Turquie n’est pas encore programmé).
Les appareils photos étaient prêts pour vidéo gag mais personne n’a glissé, seul quelques éclaboussures ont atteints certains MA. 🏖️
Fini la récréation, il faut repartir. Direction le lac de la Glère que nous longeons coté ouest , le refuge imposant nous domine. Dès que le léger souffle de vent s’estompe, la chaleur nous rattrape, doit-on continuer à descendre ?
Direction la station de pompage, nous empruntons un chemin plus raide sur les premiers lacets puis retrouvons la piste qui nous ramène jusqu’à nos véhicules.
Une halte salutaire nous attend chez Louisette. Excellent accueil, nous amenant verres et bouteilles d’eau fraiche en plus de nos boissons. « Super sympa »
Merci à Guy pour cette sortie de 14 km et 670m de dénivelé.
Votre narrateur et serre-file : Thierry
Commentaire Pascual (pour cette rando en territoire espagnol, nous retrouvons notre reporter ibérique)
Départ très matinal qui nous permet d'être aux premières lueurs du jour prêts à décoller du col des Tentes. Le groupe, restreint à 11 montagnards pour cette rando sur inscription, avancée au jeudi afin de déjouer des prévisions météo qui s'annonçaient défavorables en fin de semaine. Une décision qui s'avérera fort judicieuse. Nous bénéficierons d'un grand beau temps toute la journée et d'une absence totale de menace orageuse.
Comme prévu par notre chevronné organisateur, le temps d'arriver au port de Boucharo, il fait plein jour. Là, les choses sérieuses commencent de suite, nous basculons sur le versant espagnol, et parmi les nombreuses petites sentes qui partent sur la gauche, notre guide nous indique sans hésitation celle qui passe en contrebas d'un gros rocher blanc: "la seule bonne piste". On comprend que Bernard connait le coin comme sa poche, tout va bien, nous sommes en confiance.
Nous poursuivons la sente entre les rochers, puis remontons jusqu'à la petite brèche de "La Forqueta". Nous découvrons plein sud les magnifiques paysages espagnols. Les pics Otal et Tendenera se dressent devant nous, leurs strates sédimentaires basculées à la verticale affichent une succession de nuances blanches, ocres et grises. Bernard nous fait partager son enthousiasme et nous prodigue de multiples précisions.
Après la descente depuis La Forqueta côté Sud, nous accédons à la Vire d'Escuzana. Le parcours est jalonné de curiosités géologiques et de merveilles florales, parmi lesquelles de lumineuses edelweiss et un specimen exceptionnel de "saxifrage à feuilles longues" formant une gracieuse hampe florale jaillissante du rocher et longue d'une cinquantaine de centimètres.
En haut de la vire d'Escuzana, nous débouchons au col du même nom, et de nouveaux paysages s'offrent à nous. On découvre le massif sur lequel serpente la Vire des Fleurs. Pour l'atteindre nous redescendons et traversons un vaste plateau herbeux parcourus de petits ruisseaux. C'est le royaume des isards, promis et garantis par notre guide. Ils sont là tout proche et partout.
Nous accédons à la Vire des Fleurs et parcourons enchantés les 3,5 kms de vire à flanc de falaise. Les fleurs les plus variées occupent les anfractuosités de rochers. Parmi les plus insolites, de nombreux petits chardons des Pyrénées, bleus de la tête au pied. Au détour d'une grande courbe vers l'Est, nous retrouvons des sommets plus familiers: le Mont Perdu et le cylindre du Marboré, puis encore un peu plus loin le Casque, la brèche et le Tallion. Parmi les curiosités géologique, Bernard nous indique en contrebas un énorme rocher tout noir; le rocher de la morille (je vous laisse deviner sa forme). Cela ne fait qu'aiguiser l'appétit des plus gourmands, c'est que l'heure est déjà bien avancée. Nous débouchons assez rapidement de la vire sur un grand plateau de calcaire gris, où Bernard a ses habitudes pour déjeuner et où nous pouvons nous installer confortablement pour une pose pique-nique bien méritée.
Après la pause, nous traversons le plateau de calcaire gris, strié de crevasses piégeuses desquelles surgissent des fougères et des bouquets de fleurs. Plusieurs petites barres rocheuses sont à franchir, la dernière présentant une cheminée qu'il faut escalader avant de déboucher sur un immense plateau paraissant semi-désertique. Mais par endroits le sol est encore très humides et le long des rus finissants de s'assécher, le sol est tapissé de gracieuses petites linaigrettes aux soies blanches. Rapidement, c'en est fini de la poésie, car devant nous se dresse les quelques 300 mètres de calcaire blanc qu'il nous faut affronter pour arriver à l'altitude 2804m de la brèche de Roland. Là encore, la parfaite connaissance du terrain de notre guide s'avérera décisive. Parmi les nombreuses voies possibles plus ou moins longues et difficiles (voir périlleuses) il nous emmène tout droit sur un tracé, certes exigeant, mais qui nous conduit directement et en toute sécurité à la brèche.
L'arrivée à la brèche est un beau moment d'émotion où tout se mélange; majesté du site, rafales de vent, beauté du neve bleuté à moitié fondu en contrebas, toutes les belles images de la journée en tête, satisfaction de l'effort accompli, soulagement de savoir qu'il n'y a plus qu'à redescendre jusqu'au parking.... certes un peu longuet la descente, mais le plus dur était fait.
Quand nous rejoignons les voitures au col des Tentes, il est 19h30, pratiquement 13 heures après notre départ matinal, quelques 22 kms parcourus et 1280mde D+.
Un immense merci à Bernard pour l'organisation et le plaisir partagé à faire cette magnifique Virée.
Photos Martine P. Photos Monique R photos Pascal
Aujourd'hui , nous renouons avec le circuit de l'Arrieulat
Ce circuit le long du gave et sous les arbres s'accommode bien avec le temps ensoleillé et chaud qui s'annonce . La pente est toujours aussi rude et les organismes transpirent. En haut les ânes de saint André nous attendent . Un petit b onjour avant de descendre vers Arcizans Avant , faire le tour du lac et rejoindre le village par un jolie chemin encaissé et original avec ses petites ardoises qui nous délivre des maximes sympas.
Retour vers Argeles .La route est dangereuse, on choisit donc un chemin escarpé et raide qui s'est bien dégradé cet hiver mais on a vaincu !!!!
Nous étions 13 pour ce périple de 9km300 et 300m de dénivelé
A bientôt Michelle
Commentaire randonnée Pic Crabère et pic de la Bernatoire 06/08/2025.
33 vaillants marcheurs ce 6 août 2025 sur les pentes du pic de la Bernatoire via le pic Crabère, randonnée organisée par notre trio MME. Pour bien fixer l'itinéraire et le timing : départ de l'Espugue de Millas, passage près de la cabane de Lourdes, halte au lac du Cardal, montée au col du même nom, ascension du pic Crabère, descente partielle de celui-ci pour la coupure du déjeuner puis remontée (entorse « au règlement » qui prohibe tout dénivelé positif avec le ventre plein !) par les crêtes au pic de la Bernatoire avant le retour par le col éponyme et la longue vallée de la Canau.
33 comme le département de la Gironde, 33 Girondins en somme, en même temps que Montagnards. Vous voyez la référence (faisons un peu d'histoire) à l'assemblée nationale pendant la Révolution française qui vit les députés regroupés en haut de l'hémicycle et appelés pour cette raison Montagnards s'opposer sur le plan politique aux Girondins connus notamment pour leurs origines bourgeoises, et ce bien qu'ils s'accordassent sur le refus de retour à l'Ancien Régime. Mais leurs profonds différends conduisirent à la répression par le sang : la Terreur.
Fermons cette parenthèse historique pompeuse pour en venir à conclure qu'on peut être en même temps Montagnards et Girondins. Pour preuve le fonctionnement du groupe ce jour qu'on peut étendre à l'ensemble des sorties chez les MA. Pris individuellement, nous ne sommes pas d'accord sur tout, mais collectivement ressortent toujours les notions d'intérêt porté à la situation des uns et des autres, de partage lors des pique-niques et pots de fin de rando, et d'entraide lorsque les difficultés se présentent pour certains d'entre nous, sur les crêtes notamment.
Pour autant et heureusement, des quiproquos viennent parfois nourrir la vie du groupe et donner un ton plus humoristique à ce commentaire.
Du genre dialogue de sourds :
« Vous voyez le pic pointu là-bas, c'est notre premier sommet » (dixit un organisateur).
« Ah ! Je pensais qu'on ne passait pas au pic Pointu. » (dixit un marcheur).
« Mais on ne passe pas au pic Pointu ! ».
« Pourtant tu viens de nous montrer le pic Pointu où on va !»
« Mais non, c'est le pic Crabère ».
« Il faudrait savoir, c'est le pic Crabère ou le pic Pointu ? »
« C'est le pic Crabère mais il a une forme pointue ».
Ouf, on s'y retrouve. Heureusement que le pic de la Bernatoire n'est pas trop arrondi, sinon on avait droit au même échange avec le pic Rond, situé dans le même secteur et pas très loin du pic Pointu….. Vous êtes perdus, ce n'est pas grave, fin de l'histoire.
Dans la même veine, autre méprise sur l'altitude du pic Crabère qu'une montagnarde voulait judicieusement inscrire sur le cairn sommital pour pallier l'absence d'inscription. Une erreur fut commise, et pas petite, un demeuré s'étant trompé de 70 mètres dans la lecture de la carte. Bon, la rectification a été faite à temps et avec dextérité (voir photo) : 2 589 m qu'on se le dise. Et tant qu'on y est : 2 517 m pour le pic de la Bernatoire.
Pour résumer, 12 km et 1 050 m de dénivelé positif dont certains grimpés « en vrac ». Nouveau concept, qui n'a rien à voir avec l'écologie, mais signifiant simplement que lorsque nous étions à découvert sur une pente herbeuse, chacun pouvait choisir sa trace et son rythme, sans esprit de compétition. Le tout fut clôturé par un bain de pieds dans le gave d'Ossoue pour la plupart et par un bain de siège à la Rika Zaraï (que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître) pour les plus téméraires.
Enfin un grand merci collectif des Girondins Montagnards pour cette belle journée et surtout si nous ne sommes pas 33 les prochaines fois, ça ne changera rien à nos valeurs communes.
Photos Jean Michel Photos Marco Photos Annie Photos Frèdy Photos Monique M Photos Sylvie
Commentaire Annie
" Désirée, oh, désirée
Tu portes bien ton nom
Désirée "
Je ne sais pas si vous vous rappelez de cette chanson de Gilbert Bécaud dans laquelle il s'adressait à une femme.
Vous allez penser, quel est le rapport ?
Tout simplement, cela faisait 3 années consécutives que cette randonnée était au programme et qui n'avait pas pu se réaliser..
Inutile de vous dire que nous l'attendions de pied ferme.. Désirée
C'est fait!
Les 21 MA garderont un souvenir inoubliable de cette sortie, un soleil radieux, une approche exigeante de la haute montagne.
Départ du Plaa d'Aste , il est 7h pétante et c'est d'un bon pas que nous démarrons, il faudra tout de même..calmer les ardeurs de certains !
Je vous passe les détails, Suyen, refuge Ledormeur, plateau de La Pacca et ensuite😨😨 que du hors sentiers, c'est raide, des cailloux où il y a fallu faire très attention à la chute de pierres.
Les isards nous épient depuis leur promontoire, curieux de voir cette ribambelle d'humains en plein effort.
Plus nous montons et plus le décor est sauvage, des blocs encore des blocs que nous franchissons " tant bien que mal " c'est sûr..nous n'avons pas l'agilité des isards 😀.
L' approche est longue, dans ce dédale de blocs, ça monte, ça descend même si nous avons"en visu" le col, nous mettrons un certain temps à l'atteindre.
Enfin, nous y sommes, panorama grandiose sur le massif du Balaitous, face à nous Le Palas, etc..
Nous profiterons pendant une heure de ce décor..faut dire que nous n'y reviendrons pas de sitôt.
Il va falloir descendre versant le Larribet, descente prudente, très prudente, des blocs, toujours des blocs, encore merci à nos montagnards qui nous ont aidés.
Puis retour sur le sentier des vaches avec les touristes 🤯.
Pot bien mérité à Arrens chez Jean-Pierre.
En résumé :
- 10h30 de marche avec plusieurs pauses
- 1h d'arrêt pour le pique-nique
- 1280m de dénivelé
- 16 kms
Un grand merci à Gérard qui tenait tant à nous y mener avec son acolyte Jean-Louis, toutes les conditions étaient réunies ( météo exceptionnelle, des vues incroyables comme les aiment les montagnards)
Bravo à tous pour votre bonne humeur, votre entraide👏👏👏
Commentaire Rosy
Pour choisir la destination d'aujourd'hui, c'est très simple....Nous mettons le nez vers le soleil, soit Pierrefitte, et tournons le dos à Lourdes.😉😉😉..
D'un bon pas, nous traversons le Sailhet, côté terrains de tennis pour éviter le goudron devant la piscine, et poursuivons sur la voie verte jusqu'au premier embranchement. Certains ne connaissent pas la "Pierre des 5 communes" donc nous nous engageons sur le sentier à travers les champs fraîchement fauchés...
Petite halte au niveau de la pierre et nous repartons vers Pierrefitte en direction de la fresque du "Serpent d'Isaby"
L'allure est toujours dynamique et nous atteignons l'ancienne gare, avec la fresque que vous admirerez en décor de notre photo de groupe.
Le retour se fait par le même chemin et sans encombres.
Belle boucle de 10 km faite par 17 marcheuses et marcheurs en 1h 43 de déplacement. Bravo à tout le monde 👏👏👏
Qui regarde trop la météo.... maxime bien connue des MA 😉
Justement, ce matin, la météo ne semblait pas trop mauvaise : elle annonçait un temps plutôt couvert, mais sec, sur la vallée de Campan.
Pourtant, les essuie-glaces ont fonctionné sur quasiment tout le trajet.
Et K Ways, couvre-sacs, ponchos et chapeaux ont été sortis par les 22 montagnards dès le départ de la randonnée à la Séoube.
Un petit sentier s'élève en sous-bois vers le Sarrat de Bon et rapidement, les couches superflues regagnent les sacs. Les nuages et bancs de brume sont encore nombreux et cachent les sommets, mais l'humidité ambiante diminue.
Vaches, chevaux, ânes, chèvres, paissant paisiblement regardent passer ces curieux bipèdes, encombrés de bâtons et de sacs à dos.
Le Courtaou du Sarroua est enfin atteint. Belle cabane de pierres que nous visitons tour à tour, elle est bien aménagée pour abriter un berger à l'étage et son troupeau au rez-de-chaussée.
Tout autour, une dizaine de vestiges d'autres courtaous sont repérables, témoins de l'intense vie en estive. Autrefois, les bergers de Campan y passaient la belle saison et fabriquaient le beurre. Le lait était conservé au frais dans les leytés, sortes de niches en pierre où circule l'eau du torrent. (ancêtres de frigos, chez nous, on les appelle des cabénères)
Après le pique-nique pris un peu plus haut (rien ne manquait, je vous l'assure 😉), nous descendons vers un autre courtaou, celui des Esclozes. Ce hameau pastoral comptait autrefois 19 unités dont certaines sont fort bien restaurées. Ce fut le lieu de notre photo de groupe.
Le sentier du retour se faufile à travers de grandes fougères et nous regagnons nos voitures en admirant de superbes granges aux toits à penaous, typiques de cette belle vallée
Pour une sortie au pied levé, ce fut vraiment une réussite.
Merci infiniment à Patrice ainsi qu'aux serre-files, Michel et Thierry
Très agréable boucle de 14 km et 585 m de dénivelé positif.
Ce jeudi nous étions 16 marcheurs pour effectuer ce parcours de 9km800
C'est un parcours en "raquette" des plus classique. Il faut dire que le plafond bas ne nous engage pas à la fantaisie!!
Départ par le Balandrau et nous empruntons le "canyon" pour rejoindre Salles. Le "canyon" c'est ce charmant chemin encaissé et très coriace qui nous conduit à l'entrée du village de Salles. Nous traversons le village, poursuivons jusqu'à Ouzous et entamons le retour vers le Balandrau
A bientôt Michelle