Commentaire Jean-Pierre
Six optimistes (dont un couple sympathique de « nouveaux » qui devaient nous trouver confidentiels) attendaient sagement au parking d’Argelès l’arrivée de nos camarades sans doute découragés par une météo mi-figue-mi raisin…Rejoints au lac du Tech par la forte équipe du meneur Guy Nicollas (trois de plus…), nous attaquons une bonne grimpette dans le bois, droit vers le brouillard…Merci au passage à Guy d’avoir planté pour nous des milliers de colchiques pour notre plaisir. Après avoir dépassé la cabane du Cuyéou de Labet, nous y sommes enfin…dans la brume, comme les gorilles du Rwanda. Pas grave, nous dit Françoise, tant que je vois mes pieds, j’avance. Nous avançons donc, vaillamment, et bien nous en pris car en vue de la brèche du col, miracle ! Un franc soleil doré d’automne nous accueille après une grimpette dans l’herbe givrée. Dominés par un fier éperon anonyme (2243m, sur la carte), sorte de brèche de Roland en miniature, et avec vue magnifique à l’est sur le lac d’Estaing enfin dégagé de nuages, nous allons nous étaler comme des marmottes repues et satisfaites.
Merci à Guy pour cette belle journée clôturée par l’habituel pot amical, d’où personne n’était pressé de repartir…
Six optimistes (dont un couple sympathique de « nouveaux » qui devaient nous trouver confidentiels) attendaient sagement au parking d’Argelès l’arrivée de nos camarades sans doute découragés par une météo mi-figue-mi raisin…Rejoints au lac du Tech par la forte équipe du meneur Guy Nicollas (trois de plus…), nous attaquons une bonne grimpette dans le bois, droit vers le brouillard…Merci au passage à Guy d’avoir planté pour nous des milliers de colchiques pour notre plaisir. Après avoir dépassé la cabane du Cuyéou de Labet, nous y sommes enfin…dans la brume, comme les gorilles du Rwanda. Pas grave, nous dit Françoise, tant que je vois mes pieds, j’avance. Nous avançons donc, vaillamment, et bien nous en pris car en vue de la brèche du col, miracle ! Un franc soleil doré d’automne nous accueille après une grimpette dans l’herbe givrée. Dominés par un fier éperon anonyme (2243m, sur la carte), sorte de brèche de Roland en miniature, et avec vue magnifique à l’est sur le lac d’Estaing enfin dégagé de nuages, nous allons nous étaler comme des marmottes repues et satisfaites.
Merci à Guy pour cette belle journée clôturée par l’habituel pot amical, d’où personne n’était pressé de repartir…