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24 décembre et 31 décembre 2024
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Les mardis de 10h00 à 12h00

   Les Montagnards Argelésiens

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Reportages Photos Section Montagne

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Commentaire Rosy

Canicule !!!! Ce n'est pas ce qui me vient à l'esprit, ce samedi matin, en ouvrant la porte,... mais.... pas de souci... pour une sortie en marche nordique, nous étions 11 marcheurs au rendez-vous.... Vous l'aurez deviné...la question n'était pas "de rester à l'ombre"...mais quelle découverte faire?!

Trouvé !!! Certains ne connaissent pas la légende du Serpent d'Isaby donc direction Pierrefitte et la fresque de Thomas...

Nous partons, après l'échauffement, vers le Sailhet... et poursuivons le long de la voie verte, sur un sentier longeant les champs de maïs que vous verrez dans le reportage photos...et heureusement!!!!! car des "flots groupés de cyclistes" ont envahi la voie verte, restes de la comète "Tour de France"😉😉😉

Nous arrivons au pied de la fresque qui fut le lieu de la photo du site... Vous trouverez l'essentiel de la Légende d'Isaby ci-après et les références pour en savoir plus..

Le retour se fait sans encombres.....sauf un petit passage nouveau 👍👍👍 qui passe entre les tennis et le Gave pour rejoindre nos véhicules...

Belle boucle de 9 km 900 faite par 10 marcheuses et Jacques en 1h 41 et 2 h 08 au total avec 87 m de dénivelé cumulé. Super !!!!

 

L'essentiel de la Légende du Serpent d'Isaby

"....Quand ce dragon se réveillait, il ouvrait son immense gueule et aspirait troupeaux, chiens et bergers. Cependant, un homme courageux du village d’Arbouix décida de réagir. Astucieux, il construisit une forge dans un recoin secret du vallon d’Isaby. Puis, un jour avec l’aide de compagnons décidés, il mit dans le foyer une lourde enclume de métal qu’ils allèrent déposer ensuite devant l’antre du monstre. Celui-ci l’avala aussitôt, comme il l’aurait fait, s’il s’était agi d’un mouton. Le feu se mit dans ses entrailles et il eut tellement soif qu’il but une quantité considérable d’eau dans les torrents voisins. Il en absorba tellement qu’il explosa !

Alors, toute l’eau qu’il avait ingurgitée se répandit au fond du vallon. Ainsi naquit le lac d’Isaby, aux eaux bleues et poissonneuses…"

Photos Rosy

Texte de Dominique PRE-AYMARD

LE SERPENT D’ISABY
Vivait parmi les monts, il y a fort longtemps,
En Davantaigues, tout au coeur du Lavedan,
Un serpent colossal, gigantesque dragon,
Un monstre de plusieurs milliers de pieds de long.
Dans la contrée, son corps, rampant dans les herbages,
Avait façonné un onduleux paysage.
Dissimulé dans les entrailles de la terre,
Ou lové dans son clòt* ou au creux d’un parterre
Qui verdoyait au pied des sommets alentour
Que sont les Soums Arrouy, de Léviste ou Lascours,
Il digérait ses proies en attendant son heure.
Ses soubresauts fréquents, entretenaient la peur
Chez les habitants des hameaux de la contrée
Qui priaient pour ne pas, un jour, le rencontrer.
Lorsqu’il se réveillait, cet animal immonde
Faisait trembler le sol, bien des lieux à la ronde,
Tant étaient enragées ses terribles colères.
Il se dressait alors, fougueux, en un éclair,
La tête redressée, dans un vent de tempête,
Et crachait puissamment, la gueule grande ouverte,
Un souffle incandescent, dont l’haleine fétide
Contaminait l’azur d’une senteur putride.
Et gare à l’imprudent, cela était notoire,
Qui par malheur s’égarait sur son territoire ;
Il n’apparaîtrait plus jamais parmi les siens.
Le serpent dévorait bêtes et paroissiens,
Assidûment, avec la même indifférence.
Le monstre, au fil des jours, se remplissant la panse,
Était bien plus violent, plus fort et gigantesque.
Le tableau devenait affreusement dantesque.
Les bergers n’osaient plus monter vers les estives
De peur que le dragon ne s’éveille et s’active !
Face à l’exode d’une ampleur sans précédent
De montagnards quittant ces monts du Lavedan,
À son de trompe, le seigneur fit annoncer
Qu’à partir de ce jour serait récompensé
Tout habitant qui, par un coup de force hardi,
Nettoierait le pays de ce dragon maudit.
Des hommes courageux, voire même audacieux,
Se munissant de pics, de fourches et de pieux,
Se mirent en chemin vers le « Clòt du Serpent* ».
Mais leur bruit réveilla le funeste occupant
Qui, tête redressée et tout en rugissant,
Balaya aisément d’un souffle ahurissant
Ces hommes valeureux, comme fétus de paille,
Pour mieux les déglutir… La bête fit ripaille.
Le ciel environnant, noircit de bout en bout ;
Un long frisson de fièvre effleura le Nerbiou* ;
Il se mit à pleuvoir, suite à cet acte infâme,
Sur les toits des hameaux et dans le coeur des femmes.
Vers « Maoucasaou* », estives bien nommées,
Plus aucun des bergers ne voulut cheminer.
Ils ne s’en remettaient plus qu’à la providence.
Le seigneur résigné doubla la récompense :
Celui qui, courageux, délivrerait ces terres
De montagne de ce néfaste locataire,
Se verrait gratifier de multiples troupeaux,
De brebis et d’agneaux, de vaches et de veaux,
De juments et poulains, ainsi que de cultures,
Et le droit, pour toujours, d’une libre pâture.
Mais aucun ne voulait, au sein de la vallée,
Risquer sa pauvre vie en étant avalé !
Un jour, un habitant d’un bourg de quelques âmes,
Arbouix, situé au pied du Hautacam,
Annonça au seigneur qu’il était forgeron
Et qu’il ne craignait pas le souffle du dragon,
À celui de la forge, étant habitué.
Il voulait l’affronter et bien sûr le tuer.
Il saisit ses outils et partit dans les bois,
Suivi par une foule applaudissant de joie.
Il grimpa lentement au lieu-dit « la Picotte* »
Petit piton rocheux gratifié d’une grotte
Nommée « Tute Daurade* », en laquelle il entra
Et où, sur son travail, sitôt se concentra.
Il installa sa forge et se mit à extraire
Du versant montagneux des nodules de fer.
Son soufflet ronflant sur un énorme volume
De fer, il façonna une étonnante enclume.
Alors notre petit forgeron, nuitamment ,
S’approchant du dragon qui ronflait bruyamment,
La projeta brûlante, encore rougeoyante,
En un vif tour de main, dans sa gueule béante.
L’estomac du serpent, étant des plus profonds,
L’enclume mit neuf jours pour en toucher le fond.
Le monstre réveillé, jaillit de sa demeure,
De son clòt, en hurlant de rage et de douleur,
Tandis qu’un puissant souffle émanait de sa gorge.
Mais notre forgeron, à l’abri dans sa forge,
Dans sa grotte tapi, ne craignait la colère
Du serpent au puissant souffle caniculaire.
La bête, pour calmer, son ventre supplicié
Par le feu, avala la glace d’un glacier,
Puis repue s’écroula dans les verts pâturages.
L’audacieux forgeron se remit à l’ouvrage.
Sa barbe et ses cheveux roussis par la chaleur,
Il forgea, de nouveau, une enclume sur l’heure,
Qu’il jeta, sitôt prête, en la gueule béante
Du monstre qui bien sûr, la déglutit, brûlante.
Cela dura sept ans ! Au bout de sept années
Le dragon, pour calmer ses tripes enflammées,
Avait ingurgité sept montagnes de glace.
Un jour, il s’écroula, fourbu, de guerre lasse.
Dans son clòt, après un ultime soubresaut,
Son ventre se rompit. Des rejets colossaux
De glace dégelée au feu de ses viscères,
Sur les estives, en tous lieux, se déversèrent.
Le lendemain matin, le serpent était mort.
Les monts ne tremblaient plus. Aux rayons de l’aurore,
Vers « Maoucasaou* », les bergers rassurés
Grimpèrent pour trouver un lieu transfiguré :
Tout au pied des sommets, sur lesquels, qui l’eût cru,
Toute la glace avait pleinement disparu,
Brillait dans un creux, face à leurs yeux ébaubis,
Un splendide et nouveau lac nommé Isaby.
Le monstre anéanti, c’est avec diligence,
Que notre forgeron chercha sa récompense.
Il fut donc gratifié de multiples troupeaux,
De brebis et d’agneaux, de vaches et de veaux,
De juments et poulains, ainsi que de cultures,
Et le droit, pour toujours, d’une libre pâture.
Là-haut, vers Isaby, jusqu’à la fin des temps,
Le forgeron devint pasteur pour très longtemps.
Et passèrent les ans. Bientôt, au pied des crêtes
Près du clòt ne resta plus, de l’énorme bête,
Qu’un tas d’os dispersés, blanchis sous le soleil.
Les gens d’Arbouix, afin de rendre grâce au Ciel,
D’être délivré du serpent, de son emprise,
Décidèrent en choeur de bâtir une église
Avec les os du monstre… et bien mal leur en prit :
À peine les travaux de l’église accomplis,
Qu’un violent coup de vent balaya la vallée,
Que sans interruption, il se mit à grêler.
Après quarante jours, sacrée bonté divine,
De cette chère église, il ne restait que ruines.
On sut alors que le serpent était maudit,
Que toucher à ses os, était, sûr, interdit.
On les brûla et quand, du brasier, la fumée
Monta au ciel, la grêle arrêta de tomber.
Il ne reste plus rien, des os de ce dragon ;
Seul, un, put échapper à la calcination.
Au village d’Arbouix, il est présent depuis,
Surnommé par les gens : « La Pierre de la Pluie » ;
Il est dissimulé dans la nouvelle église !
La légende dit vrai quoiqu’un peu imprécise :
Le serpent n’est pas mort, il est juste engourdi.
Quelquefois, le matin, la nuit, l’après-midi,
Il tressaille ou frémit durant son long sommeil…
Et soudain, un beau jour, carrément, il s’éveille !
En novembre et décembre, en l’an deux mille six,
Par deux fois il a secoué, comme jadis,
Son échine engendrant, de nouveau, l’anxiété
Au sein de la vallée qui l’a senti gronder !
* Clòt : Creux, trou. Le Clòt du Serpent est une dépression au sud du Hautacam. Nerbiou : une des montagnes du massif du Hautacam.
Maoucasaou (Maucasau) : Mauvais Jardin. La Picotte et la Tute Daurade : rocher jouxtant la « Grotte dorée », au-dessus du hameau d'Ortiac
 Tous ces sites figurent sur la carte IGN 1647ET LOURDES.
Extrait de RIMES EN BALADE.
Edition Orbis tertius
© 2021, Dominique Pré-Aymard
ISBN : 978-2-383-176-3

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Commentaire Dominique P-A

Nous étions douze à poser le pied sur le parking de la Fruitière alors que la brume se levait : une demi-douzaine de femmes et deux quarts de douzaine d’hommes ! La parité !

Cheminement le long du tumulte du Gave de Lutour. Passage devant la cabane-tunnel de Pouey Caut. Franchissement de la passerelle qui enjambe le ruisseau de Lanusse provenant du Culaus (cela ne s’invente pas) ! ! ! Petite pause au niveau de la pancarte indiquant « Refuge Russell 1h30 ». Montée enlacés, euh en lacets, sur le sentier Falisse qui longe Lanusse (attention à la contrepèterie !). Nombreuses fleurs et quelques champignons sur le parcours. Petits russellements par endroit sur le chemin. Traversée d’un pierrier et arrivée au Refuge Russell (1980 m) dans les temps impartis ! Ouf ! L’honneur est sauf !

Ce Refuge Russell (appelé à son origine Refuge de Culaus) est le petit frère jumeau de son aîné : le refuge Wallon (Marcadau). Ils sont nés la même année : 1910. L’initiateur de ces deux refuges est Louis Falisse. Si Wallon est posé en fond de vallon, Russell est sis à l’orée d’un plateau boisé : le Clot de Culaus ayant pour décor le Cirque de… Culaus !

Pique-nique à l’ombre du refuge et près d’une eau s’échappant en courant alternatif d’un tuyau. En apéro : Ricard et punch-luzéen-maison agrémentés de morceaux de melon, biscuits salés de formes diverses, « graines à oiseaux », etc... Au cours du pique-nique un sujet de discussion : les champignons (cèpes, girolles, mousserons, morilles…). Nous apprendrons l’affirmation suivante : « En France, tous les champignons sont comestibles. Tous ! Certains… une seule fois » ! Après le café-nougat-choco, micro-sieste (ou sieste-flash) pour certains à l’étage du refuge puis échanges autour des tables de la pièce à vivre. Rangement et fermeture du refuge. Derniers regards, entre autres, sur la Pique-Longue du Vignemale et le Pic de Mayouret. Redescente par le chemin de l’aller.

Moment de convivialité à l’Hôtellerie de la Fruitière devant deux tiers de douzaines de demis (pressions) et une demi-huitaine de chocolats !

Merci à Guy qui a fort bien choisi le lieu et le jour de cette randonnée : montée à la fraîche, dans les bois, sur le bon versant de la montagne vers un refuge qui n’est pas très couru en tant que but de randonnée.

 Photos Dominique P.A

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Commentaire Rosy

Pas de souci pour les 13 marcheurs d'aujourd'hui 👍👍😍😍 de parvenir au parking d'Argelès car le coup d'envoi était à 8h30 (bien avant, les 2 roues!!!).

Et, devinez quoi!!! 😳😳 Nous avions notre maillot jaune, nous aussi A voir dans le reportage photos..... (en plus des photos du site 😉)

Nous nous dirigeons vers St Savin en traversant le lotissement avant la centrale électrique....puis nous longeons le Gave descendant du Val d'Azun pour atteindre la grimpette arrivant à la chapelle de Ste Castère, lieu de la 1ère photo du site....

Après hydratation, nous repartons en direction du "sentier des ânes" sur St Savin.... puis nous progressons, toujours en montant le long d'un petit ruisseau.

"Que c'est beau !!!" s'exclame derrière moi, Gene du Gers 😃 Il est vrai que ce sentier à l'ombre nous rafraîchit un peu et à l'arrivée, nous sommes salués par 2 adorables alpagas....

Petite visite de la place de St Savin pour une 2nde photo 👍👍👍 superbe...

Puis c'est le retour par le même chemin sans encombres ....

Belle boucle de 8 km 700 faite par 12 marcheuses et Jacques en 1h40 de déplacement pour 250 m de dénivelé cumulé. Bravo 👏 👏👏 !!!!

Photos Rosy 

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Commentaire Jean Pierre

La balade proposée aujourd’hui par Manu dans la vallée d’Ossoue à Gavarnie a eu du succès malgré le temps plus que mitigé ce matin au départ d’Argelès : huit montagnardes motivées et leurs cinq chevaliers servants sont montés vaillamment vers un soleil bienvenu, même s’il était plus ou moins prévu…et vers le col historique de la Bernatoire, 2336m, et son pic gardien des lieux (2516) où nous avons déjeuné les doigts de pied en éventail. Retour ensuite par une très agréable boucle dans les vallonnements du lac du Carbal et de la cabane de Lourdes. Bernatoire historique, car comme son homologue de la Pierre Saint-Martin de Béarn, ce col est toujours marqué de nos jours par une transhumance « internationale » de près de mille vaches, les bergers espagnols de la vallée de Broto bénéficiant depuis le XVIIIème siècle de l’herbe française à Ossoue de fin juillet à début septembre. Ce ne fut pas sans mal d’ailleurs, car Ossoue fut d’abord attribuée aux Brotois par une sentence arbitrale de 1575, occasionnant des expéditions punitives des français…Heureusement, un accord signé à Luz en 1744, et confirmé par la Révolution en 1792 partagea les estives d’Ossoue entre les deux communautés pastorales par un cet accès successif aux herbages. Ce compromis donne toujours lieu vers le 28 juillet à un repas de fête à la cabane de Milhas. Un second « Traité des Limites » voulu par Napoléon III rattacha définitivement Ossoue à la France en 1866. Merci à Manu pour cette belle journée…

Photos Manu   Photos Rosy    Photos Thierry   Photos Martine

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Commentaire Anne

15 montagnards se sont levés de bon matin pour affronter le redoutable pic d'Ardiden, l'Hardiden pourrait-on dire, tant ses blocs sont exigeants ! Sans compter ses 1670 m de d + et ses 17 kms...

Dès le début, dame nature nous a joué des tours, avec un brouillard à couper au couteau pour monter à la fruitière... une montée en voiture épique !

Un début de rando sous une petite bruine légère très appréciable, jusqu'au refuge Russel (Russel hut). À partir de là le ciel s'est éclairci, nous laissant découvrir un panorama grandiose (a gorgeous scenery indeed!)

Arrivés à la brèche à 10h15, nous avons entamé la partie la plus redoutable : les blocs. Une équipe du tonnerre, où l'entraide est de mise, ce qui fait qu'à 12h30 nous étions au sommet (the peak).

1 heure de pause bien méritée, afin de retrouver quelques forces pour affronter la non moins éprouvante descente (an appalling one...) et aussi pour admirer quelques-uns des plus grands sommets pyrénéens.

La descente fut longue, la fatigue se faisant sentir, mais que de belles images dans nos têtes ! Et quelle formidable expérience !

Un grand merci à Bernard pour cette magnifique sortie qui restera gravée longtemps dans nos mémoires, c'est sûr. Tout était parfait, jusqu'à la météo.

A Hard but glorious experience, unforgettable!

Photos Annie     Photos Marco  Photos Alain L.

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Commentaire Rosy

Du bonheur d'être ensemble pour marcher..😍😍😍😍, c'est ce que 14 marcheuses ont décidé de vivre ce samedi matin...

Une fois nos véhicules stationnés à l'ombre des peupliers (à côté de la Truite des Pyrénées) et un échauffement musculaire 😥😥😥 juste ce qu'il faut 😉😉😉....nous voilà parties sur le bord du Gave pour profiter d'un petit vent, toujours présent à cet endroit... et une température relativement " correcte " (question épiderme 😚😚😚, nous ne sommes pas toutes logées à la même enseigne!!!) car nous sommes parties à 8 heures.

Comme vous le verrez dans le reportage photos, nous nous sommes fait plaisir en faisant une des photos du site, avec, en "décor", ...une fresque de Thomas, l' artiste de Lourdes. Ce fut l'occasion pour, certaines du peloton (Tour de France oblige 😉😉😉), de découvrir ce nouveau "cachet local"....

Nous sommes arrivées au petit pont en bois pour l'autre photo du site, après avoir eu, le bonheur et la surprise, de voir Emile qui pédalait dans le coin... Un grand "coucou" à Michèle et Emile de la part de la Marche Nordique...

Le retour continua sans encombres, le long du Gave jusqu'aux peupliers du parking...

Belle boucle de 11 km 110 faite par 14 marcheuses en 2 h de déplacement avec 94 m de dénivelé cumulé. Bravo

 

Photos Rosy

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Commentaire Serge

 C'est par une belle journée ensoleillée que nous sommes partis en Peloton de 10 : 5 hommes et 5 femmes avec notre ami Eric B. pour l’étape Payolle à Payolle en passant par les courtaous des Esclozes, évidemment pas à la même cadence que les coureurs cyclistes du Tour. Après une petite grimpette par la piste, nous atteignons les courtaous que nous avons admirés en respectant le magnifique travail de rénovation effectué par l’association Pierre des Enclozes créée en 2012 à Campan. Les Esclozes (dit village abandonné) étaient jadis habités par des vachers qui y vivaient de juin en septembre et entreposaient le lait dans des leytés (réfrigérateurs de l’époque). Heureusement avec cette chaleur notre meneur Eric a bien reconnu sa sortie et savait dans quel sens la commencer facilement, d'où venait le vent pour nous rafraichir y compris le lieu ombragé pour déjeuner (Quelques frileuses ont préféré rester au soleil, mais pas si frileuses que cela, sur le chemin du retour elles n’ont pas hésité à se rafraichir les pieds dans la CAOUBE. Même que Josette nous a poussés pendant la rando avec son humour habituel.

Le final s'est effectué par un pot de l’amitié sans gourmandise, HA ! (si une seule glace) à Payolle où nous avons très bien été accueillis.

Merci Eric au nom de tous les participants et à la prochaine.

Durée : 4H00 point haut 1376m point bas 1081m distance 9km Dénivelé 190m

Photos Eric B.

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Commentaire Rosy

C'est un petit groupe de 10 marcheuses qui se sont retrouvées ce matin, jour de Fête Nationale 🎉🇫🇷🎉, pour avoir le plaisir de marcher, sous l'ombre de nos arbres préférés....ceux qui bordent nos chemins favoris... D'abord, il y a eu le 😉😉 “Chemin du Balandrau” Puis “ Le chemin du Bourdalat”. Puis “ Le Chemin de Gez” Ensuite “ Le Chemin du Saut du Procureur” qui nous ramena à nos véhicules.

En un mot, nous sommes passées à l'ombre 👌👌 , nous nous sommes hydratées souvent, et en quantité suffisante, compte tenu de la chaleur grandissante, le tout enrobé d'une large part de bonne humeur.

Cette sortie fut l'occasion de revoir Geneviève ....Que du Bonheur!!!

Belle boucle de 8 km 600 faite en 1h 45 de déplacement par 10 marcheuses avec 243 m de dénivelé cumulé. Bravo...👏👏

 

Photos Rosy

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Commentaire Annie 

Ni le départ avancé à 6h du matin, ni les températures caniculaires annoncées n'ont freiné les 14 MA pour cette randonnée au Pain de Sucre proposée par Martine.

Et nous n'avons rien regretté, c'était une randonnée inédite et extraordinaire. 

La montée s'est faite à l'ombre et à la fraîche. 

Nous sommes arrivés au sommet à 9h45 et avons profité du panorama, des fleurs avec entre autre des édelweiss de toute part au sommet. 

La température, la lumière, la couleur du ciel, pas un nuage nous incitent à profiter et photographier.

Après un certain temps de contemplation, nous continuons vers le refuge des Espuguettes. 

Le terrain devient plus difficile, surtout la descente et la chaleur elle aussi augmente ( à ce sujet, pensez à vous hydrater régulièrement surtout en plein effort avec la chaleur,  les crampes vous guettent..)

Pique-nique à proximité du refuge avec à la clé le punch d'une de nos montagnardes, les gâteaux faits maison et portés dans le sac à dos d'une autre montagnarde, et le café (que demander plus), nous ferons une halte au refuge afin de se ravitailler en eau.

Retour par le chemin classique des Espuguettes, traversée de Gavarnie et poursuite jusqu'à Bareilles par des chemins dont Martine a le secret (ces messieurs ont chambré notre GO, va t'elle se tromper ou pas?) 😀😃)

Le pot aux voitures a été particulièrement apprécié bien frais, à l'ombre et dans l'herbe.

Merci Martine pour ta patience, ta gentillesse et les belles sorties que tu nous concoctes.

Dénivelé 1060m et 16km 

Photos Annie    Photos Thierry    Photos Martine      Photos Eric G.

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Commentaire Rosy

Ce samedi 9 juillet est une sortie sous "Haute Chaleur".....aussi, nous optons, pour un sentier le long du Gave, jusqu'au Pont en fer, puis, rive droite, jusqu'au "petit pont en bois". Ce parcours nous assure de marcher sous l'ombre des arbres bordant le Gave.

Nous partons du parking de l'entreprise “Bourdet”, juste à côté de la "Truite Pyrénéenne". Nos voitures sont ainsi, à l'ombre.

Nous décidons que le samedi matin, en été, le rendez-vous serait : Devant l'entreprise "BOURDET", TOUS LES SAMEDIS à 8h45

D'un pas dynamique que notre nouveau débutant, Gérard, n'a aucune difficulté à suivre 😃😃😃, nous allons, le long du Gave, rive gauche, pour atteindre le "pont en fer ". Un arrêt "hydratation" est obligatoire pour continuer (que vous verrez dans le reportage photos car c'est la photo du site).

Le sentier allant vers le petit pont en bois, nous amène à traverser une superbe partie, qui fait que Marie-Claude nous dit: " Je ne suis jamais passée par là".

Vous le savez, la séquence " découverte", nous l'aimons beaucoup.

Nous faisons la photo pour le site, avec les 22 marcheurs de la sortie puis c'est le retour jusqu'aux véhicules.

 

Belle boucle de 10 km 520 faite par 20 marcheuses + 2 marcheurs en 1h 54 de déplacement avec 89 m de dénivelé cumulé. Bravo 👏👏👏👏

Photos Rosy

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Commentaire Dominique P-A.

La quasirité absolue atteinte (11 randonneuses + 10 randonneurs) nous avons quitté le nouveau parking construit dans le village d’Arras-en-Lavedan. Ce village, d’après les dires de notre organisateur du jour Jean-Claude, avait connu son heure de gloire en menant la vie de château (pas moins de 4 porteurs de donjons dans le coin).

Sans aucun tour de chauffe, nous nous engageons sur le sentier pentu de Peiras emprunté autrefois par les bergers qui montaient aux estives. Ce sentier est bordé de-ci, de-là, par des sculptures taillées dans la pierre, réalisées par une dizaine d’artistes. Des bornes d’information sont placées près des pierres.

Un petit aller-retour pour un petit coucou à la Chapelle Saint-Barthélémy (ou du moins à ce qu’il en reste) fondée en 1562.

Peu avant le Col d’Arras, nous avons pu observer des pierres dressées datant du mégalithique, une en bord de route, une autre plus loin visible dans un champ et la troisième... invisible ! Selon la légende ces pierres pouvaient avoir une fonction de fécondité (fonction qui n’intéresse plus une bonne fraction des Montagnard.e.s).

Au sommet, quelle vue ! Le rapport dénivelé-vue est imbattable. 400 m de dénivelé pour une vue à 360° : … Hautacam,… Soum de Léviste,… Pic d’Aube, Soum de Nère,… Pic Long, … Pics de Léthious-Cumiadère-Bergons,… Viscos, Cabaliros, Moun Né (de Cauterets), … Balaïtous, … Pic du Midi d’Arrens, le Palas, Courouaou, … Navaillo, Soums de Granquet-las Escures-Conques-Andorre-Leiz,… Pibeste, Alian… itou, itou…

Après la pause repas, retour par le Pouy Ardoun (2 sommets pour le prix d’1 !).

A l’arrivée à Arras, une bonne âme (un homme !) s’est dévoué pour pédaler et permettre à ces dames de faire un petit tour de manège. Heureusement pour lui, il n’y avait ni pompon, ni queue de mickey pour obtenir un tour gratuit ! Le pot a été pris au bistrot-librairie du Kairn. Il a été agrémenté de plusieurs parts de brownies, de tranches de tourte (pastis) et de quartiers d’un gâteau aux pommes et aux amandes !

Un grand merci à Jean-Claude qui a pris en charge cette randonnée. Elle avait été proposée par Manou pour laquelle nous avons toutes et tous une petite pensée dans l’espoir qu’elle vienne bien vite rejoindre les Montagnard.e.s.

Photos Jean-Claude   Photos Thierry

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 Commentaire Annie

9 MA à la découverte du lac d'Ousse .

C'est un lac que l'on surplombe depuis les crêtes qui mènent au Montaigu. 

Excellente idée de la part de notre GO Martine, départ du parking de la Moulata où nous avons rencontré un berger qui rentrait de sa nuit de veille afin de surveiller ses bêtes du loup qui sévit dans le secteur.

Comme nous avait prévenus Martine, ce sont les montagnes russes qui nous attendent (on monte, on descend)

Le chemin est agréable et cela change des cailloux et des blocs de ces derniers jours, les rhododendrons ont déjà terminé leur floraison (quel dommage !) et la bruyère commence à fleurir.

Les isards étaient de la partie et quelle chance de les voir même s'ils étaient relativement loin.

Nous arrivons au lac et décidons d'en faire le tour et de le photographier de tous côtés. 

Les sommets se dégagent, nous avons le plaisir de voir le Montaigu dans sa totalité et aussi des gens  sur les crêtes. 

Pique-nique au bord de l'eau où nous avons pris le temps de discuter et de "se bidonner"

Nous reprenons le chemin du retour par un petit détour, heureusement que Martine a le sens de l'orientation (sans GPS) car il est très facile de s'égarer avec tous ces sentiers plutôt des sentes à bestiaux. 

Température idéale pour randonner, nous terminons par un pot aux voitures er remercions Martine pour cette balade qui sort des sentiers battus...

Dénivelé 800m et 16km 

Photos Annie    Photos Martine

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Commentaire Rosy

Ce premier jeudi du mois de juillet nous a propulsé à Couraduque, pour notre plus grande joie😘😘😘

C'est d'un bon pas que nous avons commencé, en prenant à gauche, soit en sens contraire des fois précédentes....😥😥😥 A nous le démarrage "tonique".... et au premier carrefour, plusieurs voix de dire "...On enlève des épaisseurs !!!😉😉😉..." Nous partons en direction du col de la Serre et arrivons, relativement vite au col de Bazès pour la photo du site...De belles nappes nuageuses tentant de nous absorber...nous reprenons vite notre sentier vers la cabane jaune et continuons vers le col de Couraduque, profitant au passage de la splendeur violette des digitales et les multiples pieds de gentiane jaune ont alimenté longuement, sur les divers "apéros..." tirés de cette plante, les échanges de quelques-uns 👍👍👍👍

Belle boucle de 7 km 650 faite en 1 h 28 de déplacement et 1 h 42 au total par 9 marcheuses et Jacques avec un dénivelé cumulé de 180 m. Bravo!!!!

Photos Rosy 

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 Commentaire Laurent V.

9 jours pour 13 participants motivés et solidaires pour une traversée de ce parc magnifique. C’est un festival de fleurs, de lacs que nous découvrons au fur et à mesure des sentiers, variantes ….et plus dur « variantes avec options !»…plusieurs sommets sont gravis dont la Punta Alta de Comalesbienes (3019 mètres) .Déconnection assurée et un vrai retour sur nos valeurs de partage et d’entraide qui ont fait la force de ce groupe .Merci à Michel et à vous tous.

90km et 8000m de dénivelé .

Photos Laurent     Photos Eric B.   Photos Marco J1    Photos Marco J2

Photos Marco J3   Photos Marco J4   Photos Marco J5

Photos Marco J6   Photos Marco J7  Photos Marco J8

Photos Marco J9    Photos Marco  Trace 

Photos Jean-Michel

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 Commentaire Annie

Louis, notre GO avait programmé le Gavizo-Cristail, c'est une randonnée exigeante par sa distance entre 24 et 25km aller-retour et son dénivelé 1500m sur un terrain difficile (beaucoup de blocs et une montée raide dans les derniers mètres sur un pierrier instable)

Mais cela n'a pas empêché 15 MA de se retrouver pour cette sortie. 

Cela s'est fait en deux temps, tout d'abord nous sommes partis à 14 et arrivés au plateau de Labassa où nous admirions les isards, Didier nous a rejoints.

Voilà, nous sommes 15, ces messieurs sont en majorité (pour une fois!).

Nous attaquons les lacets menant à la Peyre St Martin et malencontreusement un caillou dévale au dessus de nous (peut-être un isard à l'origine de cette dégringolade) toujours est-il que Didier le reçoit sur son pied.

Inutile de vous dire que la douleur est fulgurante, un arrêt s'impose puis c'est sans compter sur le courage de notre basque qui décide de poursuivre son chemin.

La randonnée se poursuit, nous arrivons au col où une petite pause s'impose pour recharger les batteries et nous voilà à nouveau au diapason pour le Gavizo-Cristail. 

Louis ne manque pas de bons conseils et nous suivons notre guide jusqu'au sommet où un gentil espagnol prendra la photo du groupe. 

Nous profitons du panorama mais décidons de pique-niquer plus bas à l'abri du vent.

Le ciel se charge de nuages pas très engageants et en effet la descente après le col s'accompagnera de pluie pas bien soutenue mais qui nous obligera à se couvrir et activer le pas, les éclairs et le tonnerre nous tenant compagnie jusqu'au parking et là, un déluge de pluie s'est abattu au terminus.

Malgré ces petits désagréments, nous avons passé une excellente journée. 

Merci Louis, merci Danièle toujours disponible et s'acquittant de son rôle de serre-file avec brio.

Merci les MA pour votre engagement, votre partage et votre bonne humeur contagieuse 😀👍.

 

Photos Annie

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Commentaire Dominique P-A

23 montagnard.e.s ont profité de la belle journée du samedi 2 juillet (plus belle que celle de la veille d’où le report de la randonnée) pour se rendre au lac de la Glère.

Après avoir longé le ruisseau du même nom, nous nous sommes élevés, sans nous lasser, sur une piste en présentant de nombreux ! Parvenus sur la rive du lac, certain.e.s ont grimpé jusqu’au refuge d’où l’on aperçoit les deux lacs contigus de la Glère et de Coume-Escure. Une fois redescendu.e.s ils ont rejoint le groupe qui s’était installé pour pique-niquer au bord du lac de la Glère. Un grouppetto a préféré faire une petite ascension apéritive jusqu’au lac de Coume-Escure. Après le café et une petite sieste, nous sommes redescendus par la piste, salués à notre passage par une petite vipère aspic qui hélas pique !

De retour aux voitures nous avons traversé le camp Rollot sous le regard des cabanes de Camou aux toits végétalisés et ardoisés !

Le pot nous a été apporté sur un plateau : le plateau du Lienz ! Pour agrémenter les liquides divers nous avons eu droit à des solides nombreux et variés, moult pâtissières ayant fait des crêpes, des gâteaux divers coupés en tranches ou en quartiers ! Puis chacun.e est retourné.e dans le sien habituel ou d’été non sans avoir attendu très patiemment l’addition. Très bonne idée Marie-Rose et Guy que cette rando du vendredi un samedi ! Merci à vous deux !

Photos Christian

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Commentaire Brigitte G.

Ce matin, nous étions 10 marcheuses et 1 marcheur. Question du jour : Où va-t-on ? Très vite, on a voté pour le Buala en passant par le pont de fer, direction les cabanes perchées et la grimpette habituelle. Descente par Boo Silhen.

Arrêt à la voiture balai des nouveaux mariés puis à l'église de Boo qui était ouverte pour un baptême. Et retour par la voie verte.

Tout le monde était de retour pour 12h malgré nos arrêts et nos bavardages après 11,6 km.

Photos Brigitte G.

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Commentaire Rosy

Quelle fin de mois de juin... et dire que c'est "l'ETE" 👎👎👎 !!! Ce jeudi matin, nous sommes quelques marcheurs ( Christian est des nôtres) à partir pour une boucle sous les nuages, certes, mais pas sous le pluie!!!

Après l'échauffement, nous nous dirigeons vers le Parc Thermal pour rejoindre le Chemin du Comte qui nous amène à Ost (juste avant Vidalos).

Notre pas est très dynamique et nous arrivons même à supprimer des épaisseurs 😚😚😚....

Après un passage dans Ayzac-ost (en fait, surtout Ost...), nous parvenons au lieu de la photo du site......juste avant la montée vers Ouzous...

Sans encombres, nous retrouvons le Chemin du Balandrau et notre point d'arrivée.....

Belle boucle de 9km faite par 8 marcheuses et Christian en 1h46 avec 370m de dénivelé cumulé. Bravo à tout le monde

 Photos Rosy

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 Commentair Thierry

Arrivés à Arrens pour retrouver les GO du jour, le nombre 33 retentit, qu’est-ce donc ?

Le gagnant du loto, une consultation chez le médecin, la température du jour ? NON, c’est le nombre de montagnardes et montagnards argelésiens présents ce jour !!!

Nous démarrons la montée depuis le lac du Tech 1207m et nous montons rive droite du Labas par la sapinière d’Estousou en laissant sur notre gauche le sentier allant à Pouey Laun afin de déboucher sur les estives de Mauba.

Le pont n’ayant pas résisté à l’hiver, nous traversons le Labas soit par la prise d’eau pour certains soit en bondissant de cailloux en cailloux pour d’autres.

Une petite halte à la cabane de Bouleste est appréciée, les bergers ont monté leurs bêtes (chevaux ardennais – vaches – moutons) puis nous continuons dans cette vallée plein ouest. Plus loin après avoir franchi un faux plat montant, nous apercevons le ruisseau dont la source se trouve plus haut. Nous bifurquons donc à gauche, traversons de nouveau le ruisseau (toujours aussi élégamment, la vidéo faisant foi) et entamons une montée bien plus raide vers le sud. Ce dernier raidillon et la traversée d’éboulis font allonger le groupe et chacun monte à son rythme afin d’arriver aux lacs d’Ausseilla 2230m.

Après un casse-croute mérité et convivial, nous descendons et la fin se fait par la rive gauche du Labas avec une pente dans la forêt bien marquée, afin de retrouver nos véhicules au lac du Tech. Rassurez-vous, ils n’avaient pas bougé.

Un grand merci à la team arrensoise (Gérard – Michel – Jean Louis) pour cette sortie sous le beau temps  (ils l’avaient commandé)

Photos Annie   Photos Christian   

Photos Thierry   Photos Martine

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Commentaire Annie 

Aujourd'hui, nous sommes partis à 5 (le club des cinq en quête de nouvelles aventures) avec notre GO Patrice. 

Je ne sais pas si c'est la météo, le changement de jour, etc..mais peu importe 5 MA sont là pour profiter de cette journée et de la chance qui nous sourit (météo très correcte).

C'est la chance des audacieux, faut savoir la saisir lorsqu'elle se présente.

Après tout, qui sait de quoi sera fait demain ?

Revenons à notre randonnée, le soum Arriou-Né est le point culminant du domaine skiable de Luz-Ardiden. 

La traversée des remontées mécaniques peut rebuter certaines personnes mais ce serait passer à côté du panorama qui nous attend. 

Arrivés au col de Cloze 2500m,il ne reste que 77m à gravir .

Nous partons en traversée à flanc sur la gauche et repiquons à droite sur de gros blocs.

Une fois au sommet, la place est réduite (pas de places pour un groupe important), ça tombe bien...

Après avoir identifié plusieurs sommets, nous descendons vers le lac de L'Espuguette pour nous restaurer et échanger quelques propos et confidences qui n'appartiennent qu'à nous😉

Derrière nous, le ciel se charge de nombreux nuages, le vent se lève et il est temps de repartir.

Belle randonnée de 10km et 1100m de dénivelé cumulé (il a fallu remonter depuis le lac pour rattraper la piste)

Merci Patrice, on ne va pas dire que tu as plus d'un tour dans ton sac mais plutôt plus d'une randonnée sur ton GPS quand on n'oublie pas son téléphone 😀😂🤣

Photos Annie

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Commentaire Rosy

Suite au report de la sortie sur Cauterets, nous nous retrouvons à 9h au Sailhet pour

une "classique"....Oh!!! Surprise...Ulrike est de retour dans notre vallée et ce,😍😍 depuis lundi.        Après réflexion, Monique nous donne l'itinéraire, rapidement accepté par tous....Eh!!Oui!!! Pour notre grand plaisir, Christian est des nôtres ce matin....

Nous partons vers le Buala en longeant la rive gauche  et passons, pour une photo du site, le long d'une oeuvre de Thomas, notre "Street Art" iste"  👍👍👍 préféré ....Soudain une petite voix se fait entendre: " Super!!! Je ne suis JAMAIS allée au "Buala"!!!". Vous le savez, c'est une petite phrase que nous aimons.... et c'est avec plaisir que nous faisons découvrir à Nadine ce petit coin ...de notre vallée...

Continuant d'un bon pas, nous atteignons le Pont en Fer ..Que nous traversons....Pour, prenant à droite, commencer notre ascension vers le sommet du Buala....Toujours aussi magique ce sentier, entre Gave et "Buala", il est aujourd'hui, fraîchement débroussaillé et nettoyé, ce qui nous rend la marche très plaisante (et tout autant "transpirante" 😏😏😏, ma foi !!!). 

Dans la montée, nous laissons, de côté, la porte que nous prenons souvent pour parvenir au somme t; grâce à Monique, nous empruntons le sentier qui nous amène directement à la Chapelle de Silhen.              Après un tour d'horizon et un temps d'hydratation, tout le groupe continue vers les antennes,  qui furent la seconde photo du site. 

Le retour se fit par le sentier au milieu des fougères et des bouleaux, côté Agos-Vidalos et Ayzac.            Passée la porte en alu, gardienne des troupeaux...nous nous engageons sur le même sentier  qu'à l'aller... et atteignons nos voitures sans encombre.

Belle boucle de 11km 450      faite par 14 marcheuses et Christian        en 2h 20 de déplacement          avec un dénivelé cumulé de 200m      Bravo à tous.                         

Photos Rosy