- Ce que vous devez savoir
- Généralités secours en montagne
- Fond de sac
- Marche en groupe
- Progression en crampons
- Convention Thermes Argeles
- Pratique environnementale
- Règlement intérieur
Commentaire Rosy
Premier jeudi du mois, nous prenons la direction de Couraduque....après quelques péripéties mais à l'heure😅😅
Après un arrêt à Aucun pour prendre une marcheuse, nous grimpons vers le col de Couraduque où nous nous installons pour l'échauffement.
Température excellente, radieux soleil et bonne ambiance, tout pour faire une sortie " magique" Et ce fut fait...Que du bonheur !!!
Nous prenons la direction du Col de Bazès et comme vous le verrez dans le reportage photos, nous nous régalons de la "tranquillité" des lieux, des couleurs de toutes ces fleurs qui jalonnent notre parcours.👍👍👍
C'est d'un bon pas que nous parvenons au col de Bazès pour faire la photo du site. Le retour se fait sans encombres et la forme physique (bien sûr !!!) de notre petit groupe nous autorise à faire un détour par le col de Couret. Retour à nos véhicules pour les étirements.
Belle boucle de 9 km 600 faite par 10 marcheuses en 1 h48 de déplacement avec un dénivelé cumulé de 270 m. Bravo à toutes 👏👏👏
Commentaire Rencontres florales
Aujourd'hui et grâce à Mado, nous avons passé un petit moment avec la première fleur de nos rencontres florales de juin 2022. Vous verrez les photos de cette "Grassette à grandes fleurs", connue car c'est une "plante insectivore". Elle pousse dans des lieux humides. Ses feuilles visqueuses, gluantes comme la peau d'une limace attirent les insectes qui se collent et se font dévorer 😱😱😱
Dans les Pyrénées, les Anciens utilisaient les feuilles de grassette pour soigner les plaies, les coupures et les œdèmes. Pour favoriser la cicatrisation, il fallait poser la partie visqueuse de la feuille fraîche contre la plaie. Cet usage était connu ailleurs.
Informations recueillies dans l'ouvrage "Découvrir la FLORE DES PYRENEES" de Françoise Laigneau que vous avez à la libraire du Kairn à Arras.
Commentaire Annie
Malgré un départ avancé (les MA sont des lève-tôt), 35 montagnards bruyants se sont retrouvés au RDV à Argelés.
Départ du col de Spandelles, la chenille est impressionnante, nous montons à l'ombre accompagnés d'une légère brise sur un sentier bien sec.
Tant mieux, ce chemin en devers lorsque le sol est humide incite à la prudence mais aujourd'hui, ce n'était pas le cas.
La grimpette jusqu'au pic de l'Estibète se fit allègrement et les regards sur le panorama 🤩🤩🤩 furent sans commentaires ...
La randonnée se poursuit, Gérard indique la direction à prendre, c'est à dire les crêtes jusqu'au soum de Granquet que certains "zapperont" (oublieront de lever les yeux) tellement concentrés sur leurs pieds...
Nous ne sommes plus très loin de la pause, descente sur un col et après avoir laissé les sacs à dos à terre (plutôt dans l'herbe) Gérard toujours au diapason, nous propose de terminer par une dernière ascension au pic sans nom où nous attendaient 2 charmants patous aboyeurs, surveillant de très près un troupeau de brebis.
Puis voyant que nous étions inoffensifs, "ni un,ni deux" les voilà à nos côtés pour le casse-croûte mais ils rebroussèrent vite après que nous les ayons évincés .
Après cette pause réconfortante, photo de la joyeuse bande et retour aux voitures avec la chaleur à mesure que nous descendions.
Pot à Argelès au café de la gare avec un nouveau serveur (en stage ? en reconversion ?) merci à lui pour sa dextérité au service 😉
Encore une belle journée orchestrée par le trio du Val d'Azun (le plus beau coin des Pyrénées)
Et bienvenue à Patricia qui s'est fait peur en voyant tout ce monde😨
Les montagnards argelésiens sont victimes de leur succès 👍
Commentaire Patrice
Anté-pic de Barroude 2719m par le vallon de la Gela
En ce jour de fête des mères, 12 MA ont décidé de faire le"mur" de Barroude sous le commandement de Jean-Michel notre chef ! Cela s'est déroulé en trois temps avec le beau temps de temps en temps et c'est tant mieux pour le moral.
1: On a marché sur des pelouses le long de la Neste de Géla sous le regard hagard de quelques marmottes sifflotants toujours le même air connu de tous ; on laisse la cabane à gauche alors que devant nous s'offre la muraille surmontée du Pic de Gerbats et du Pic de la Géla c'est le Barroude d'honneur, quel cirque !
2: On a marché dans la neige sans l'aide des crampons qui se seront baladés dans le sac à dos . Le sable du Sahara a recouvert la blanchisserie qui vire au beige et seules quelques taches bleues nous laissent deviner les lacs prisonniers de la langue de glace. Nous continuons d'avancer dans ce monde de silence troublé par le ruissellement de la fonte des neiges sur les parois de la muraille. Une sirène tente de me charmer , désolé, je n'avais pas ma canne à pêche ! Mirage de l'amour ...
3: On a marché sur la lune ! C'est l'impression de tout le monde en arrivant au Port de Barrosa . Nous n'aurions pas été étonnés de rencontrer un véhicule à chenille de la Nasa ! Le terrain est souple dans cette petite caillasse qui nous mène à l'anté-pic de Barroude, il est 14h et tant pis pour le Pico de Barrosa car les estomacs se manifestent en grognant.
Place au retour environ 12 kms en franchissant les trois étapes décrites plus haut . Des nuages noirs nous suivent de loin mais nous laisseront tranquille en allant embrasser cette muraille qui devient lugubre après coup .Nous arrivons aux voitures pour un autre moment de bonheur avec le partage du clafoutis et du cake aux fruits préparés avec amour pour nos bouilles réjouies de cette journée en plein air .
Randonnée longue 24 kms avec un dénivelé important 1400m mais le site est majestueux et récompense les efforts fournis .
Merci à Jean-Michel , Francette & Michèle et moi-même fidèle serre-file de fer !
Commentaire Rosy
Ce samedi matin n'a pas la chaleur du précédent ....aussi.....la seule question: "Où aller pour se régaler???"
Nous optons pour...un peu de plat....et... un peu de grimpette. Ce fut fait👍👍👍
Après l'échauffement, nous partons vers Adast à travers le Sailhet puis prenons le raidillon pour atteindre le bas du Château Miramont, de Chancel..😍
Nous poursuivons en direction de Saint Savin...quand soudain,...derrière moi..., une petite voix se fait entendre et dit:" Je ne suis jamais passée par là..."
C'était Brigitte qui, les yeux grands ouverts, profitait pleinement de ce passage ombragé. Notre moment délicieux de "découverte" pour l'un ou l'une de nous...
Pour changer de décor, nous posons au beau milieu de la route sans attendre le légendaire "site panoramique du village"...
Le retour, par la traversée de St Savin et la descente vers le Sailhet, ne posa aucun problème à nos marcheuses..
Belle boucle de 9 km 300 faite en 1h 44 de déplacement 2h 08 au total avec 230 m de dénivelé cumulé par 14 marcheuses. Immense bravo !!!!
Commentaire Thierry, votre conteur du jour
Après ce début de semaine maussade, ce vendredi 26 montagnards sont dans les « starting block ». Quelques brumes en vallée mais le grand soleil nous attend pour le départ du col de Couraduque. Beaucoup veulent savoir le nom des 7 cols mais Marie garde le suspens et nous les fera découvrir au fur et à mesure de la randonnée. Le 1° col sera le col de la Serre; Après le col de Bazès, nous quittons la piste, les spécialistes en fleurs nous nomment celles rencontrées, les massifs de rhododendron commencent leurs floraisons et sont magnifiques. Nous laissons à notre gauche le Soum de Berducou jusqu’au col de Berbeillet puis contournons le cap de Castère par le sud jusqu’au Col de Cantau et sa cabane. Quelques vautours planent au dessus de nous et la vue pure sur la chaine des Pyrénées est magique : au fond au sud- ouest le Moun Né et le Soum de Grum, au premier plan l’Omi Agut, le Pic de Habouret et le Pic du Midi d’Arrens et sur notre droite le Grand et le Petit Gabizos dominent. La température commence à monter, après une petite pause à la cabane de Cantau, nous reprenons notre progression par les crêtes de la Serre jusqu’au col de Soum d’où nous avons une magnifique vue plongeante sur le lac de Soum. Nous en profitons pour faire le cliché du groupe puis finissons au col de Mauben. La pause casse-croûte se fera face au lac de Soum dans une bonne ambiance où quelques plaisanteries fusent. Le retour se fait par la piste. Le groupe est enthousiasmé et remercie Marie, guide du jour et Serge, serre file qui ont ramené toute la troupe au bercail.
14,3 km pour 420m de dénivelé
A la prochaine
Commentaire Rosy
Ce jeudi férié nous permet de faire l'échauffement dans un calme assez impressionnant 😳😳😳. Nous traversons le Parc Thermal et prenons la direction du Chemin du Comte lorsque,.......soudain.......😜😜😜l'une d'entre nous parle d'un jeune artiste de "Street Art", déjà croisé lorsqu'il préparait une façade du gymnase pour une faire une fresque....Aussitôt nous partons vers le Pont de fer et Arrivons sur site pour la photo du site et le plaisir de la découverte. C’est l’histoire de la Douna de Balandrau que conte le graffeur Thomas sur le pont précédent le pont de fer, sur la voie verte à Ayzac-Ost. Le Pays de Lourdes et des Vallées des Gaves a entrepris un embellissement de cette dernière, avec la réalisation de quatre fresques.
Si vous voulez en savoir plus sur cet artiste, tapez "DecoXpression" sinon pour plus d'infos sur la fresque de notre sortie, tapez " La Dépêche du 24/04/2022.
Nous poursuivons car nous voulons longer le gave et profiter des sentiers sablonneux....Passant en face du tunnel de la Tour d'Agos, notre seule voix masculine s'exclame: " Je n'y suis jamais allé!!!" Devinez!!....le retour est tout programmé...nous voilà partis pour la Tour d'Agos et pas seulement le pied, non, non... nous avons encadré Jacques jusqu'en haut!! Le reste de notre boucle se fait sans surprises...
Belle boucle de 11km 400 faite en 2h de déplacement avec 102 m de dénivelé cumulé par 9 marcheuses et Jacques. Bravo à tout le monde...
Commentaire Patrice
Pour ce dimanche de chaleur il fallait prendre de la hauteur pour se rafraichir, chose faite au delà de l'espérance car il a fallu se vêtir au col pour manger à midi.
Donc départ en fanfare sans tambour ni trompette pour la douzaine de MA depuis la rive du lac d'Estaing pour entrer droit dans le bois de sapins qui nous inonde de sa fraicheur et du chant des oiseaux . Nous passons la cabane d'Arriousec sur le GR 10 puis ce sont les estives le long du torrent qui captivent notre attention . Nous sommes surveillés par deux éclaireurs isards et au retour ce serons les marmottes qui nous siffleront sans nous applaudir ! Nous laissons à main droite la cabane et la direction du lac du Barbat pour virer à gauche sur quelques plaques de neige et atteindre le col d'Ilhéou 2329m prisonnier entre le Soum de Grum 2657m et le Grand Barbat 2813m .Nous prenons notre temps et poussons un peu plus loin pour apercevoir les cabanes d'Arras et la table d'orientation sur la crête du Lis .Nous descendons rapidement histoire de voir si la digestion se fait mieux en accéléré qu'au ralenti 😅. Nous retrouvons la chaleur au bord du lac mais la glacière a conservé au frais les boissons bienvenues .
1100 m de dénivelé sur un terrain facile et 12 kms .
Merci à ce blagueur de Jean-Claude et à tout bientôt .
Commentaire Annie
15 marcheuses fidèles au rendez-vous mais sans Rosy, d'un commun accord nous désignons Monique A, accompagnatrice.
La question du jour est la suivante :
Ou allons-nous sans trop souffrir de la chaleur ?
Monique nous conseille le sailhet, Adast et la montée sur Saint-Savin par un beau sentier en sous bois, à la fraîche, nous approuvons à l'unanimité.
A Saint-Savin, photo du groupe et retour sur Lau-Balagnas par un chemin bien ombragé.
Après la traversée de la route nationale, nous retrouvons rapidement les champs, le ruisseau à franchir sans tomber dans l'eau et le sailhet à proximité du Gave où le courant est omniprésent et les eaux tumultueuses avec la fonte des neiges.
Nous avons parcouru 9km sur un bon rythme.
Merci Monique et bravo à toutes les marcheuses...
Pour ma première sortie avec le club des Montagnards Argelésien, je suis ravie de cette randonnée. J'ai trouvé une excellente ambiance, le rythme est adapté à une reprise et le casse-croute est un bon moment de convivialité. Très belle vallée qui s'ouvre sur un magnifique cirque que je ne connaissais pas. Un grand merci aux organisateurs Marie Rose & Guy et à tous les participants pour leur bon accueil.
Marie Jo & Thierry
Photos Christian Photos Michel Photos Sylvie A. Photos Thierry
Commentaire Rosy
Bizarrement ce matin n'est pas aussi lumineux qu'hier.😳😳...mais on ne s'en plaint pas😜😜😜.
Au rendez-vous de la marche nordique, après l'échauffement, nous optons pour faire une partie des 12km de la course de samedi...
Nous partons en direction de notre sentier préféré, le chemin du Balandrau et, juste après le carrefour Gez/Ayzac/Ouzous, nous devons franchir 2 troncs d'arbres tombés très récemment (samedi ils n'étaient pas couchés!!!) pour poursuivre notre route vers Salles.
Nous grimpons dans un petit goulet jusqu'à l'entrée de Salles où Chantal, Danielle et moi étions "signaleurs" samedi après-midi. Puis vient.... "le moment découverte" que nous aimons bien 😘😘😘 à savoir un nouveau tronçon qui évite de marcher sur le goudron et qui nous fait passer en contrebas du village (comme vous pourrez le voir dans le reportage photos)
Nous sortons du côté du cimetière et, prenant à droite, nous retrouvons le sentier menant à Ouzous...👍👍👍 Ce fut le temps de faire la photo du site...
Traversant Ouzous, nous descendons à droite, le long du petit ruisseau, lorsque, à nouveau c'est notre "séquence Koh Lanta!!💪💪💪" que vous verrez dans le reportage photos Eh oui!! nous enjambons, encore, un arbre couché depuis peu puisque, dimanche, il n'y était pas 😏😏😏
Arrivés (🔎🔎 vous l'avez deviné....un homme est parmi nous...) à l'entrée d'Ouzous, nous optons pour un détour par Ayzac-Ost, un passage le long de la départementale puis, après la maison de retraite, le sentier de la Coustère, qui fut le moment de découverte de....Jean-Pierre!!! (voilà notre homme😉😉😉)
La fin du retour se passa sans encombres car sur le chemin du Balandrau...
Belle boucle de 12 km avec 432m de dénivelé cumulé Oui!!Oui!! faite en 2h21 de déplacement par 16 marcheuses et Jean-Pierre. Bravo à tous.
Commentaire Annie
23 MA et le chien du village de Gaillagos pour cette randonnée au soum de Pene où notre plus grand ennemi fut la chaleur.
Départ de la salle des fêtes commune aux deux villages Arcizans-dessus et Gaillagos que nous traversons en compagnie du toutou pour rejoindre le col du Couret.
La pente est raide et il fait chaud, heureusement nous sommes à l'ombre mais pas pour longtemps.
Arrivés au col, un petit vent bienvenu, nous suivra tout le long de la montée sur les crêtes parsemées de fleurs.
Après avoir atteint le soum de Pene, Michel le GO de la journée, nous proposera de pique-niquer un peu plus loin sur les crêtes ou sous les arbres à l'ombre.
Chacun choisit son emplacement et nous profitons de ces bons moments conviviaux.
Nous ferons la photo de groupe dans la descente et, au col de Liar, Michel trouvant que la rando manquait de "piquant" propose de remonter au pic de Peyre après manger et sous la canicule (est-ce vraiment raisonnable ?🤔)
En bons soldats, nous suivons mais c'est pas fini, les crêtes sont envahies d'orties (il paraît que c'est bon pour la circulation)...merci pour les montagnards en short 😨😩
Le retour fut piquant, urticant et "cerise sur le gâteau", nous terminerons cette descente au milieu des fougères naissantes habitées peut-être par les tiques...🕷🕷🕷
Merci Michel 😉, tu as voulu mettre du piquant et tu as réussi 🤗
Les raleuses se sont manifestées ou la raleuse mais sans rancune..
Les petits désagréments sont vite oubliés, ça ne pèse pas lourd à côté de cette superbe randonnée que tu as menée "d'une main de maître" 👍
A noter le retour de Pierre
Pot apprécié aux voitures, à l'ombre et des gâteaux "à gogo"
Dénivelé 900m et 13km environ
Photos Eric B. Photos Annie Photos Martine Photos Anne-Marie
Commentaire Annie
Aujourd'hui :
"Lac d'Agalops au galop"😉🏃♂️
Retrouvailles avec notre GO Jean-Claude et première pour certains, nous ne l''avions pas vu "depuis des lustres", 3 ans environ...
Il n'a rien perdu de son bagou, de son dynamisme et de son humour 😀😂🤣
Départ avec le soleil, les vestes vont disparaître rapidement dans le sac à dos.
Nous sommes 22 MA, Jean-Claude est ravi, il croit obtenir un bonus (prime) au delà de 10 personnes, même 2 bonus puisque nous dépassons la vingtaine (il se fait le film...)
La montée à Aygues Cluses s'avère plutôt "Aygues débordantes" tellement il y a de l'eau sur le chemin, des sources jaillissent de toutes parts, des ruisseaux et même des laquets que nous découvrons pour la première fois.
Plus nous approchons du but et plus la neige est importante sur certains versants.
Nous arrivons à la cabane d'Aygues Cluses après avoir admiré ce refuge et poursuivons jusqu'au lac d'Agalops tantôt sur de la neige molle, tantôt sur le sentier.
Nous y voilà, c'est magnifique 🤩🤩🤩
Le lac est bleu, on a l'impression de voir une piscine à débordement, par endroits, il est encore gelé.
Photo du groupe, pique-nique accompagné comme il se doit...et nous profitons pendant une heure du site.
Le chef donne le signal du retour, nous ferons une pause "bains de pieds" ou une petite halte désaltérante et reposante bien méritée.
Pot à Tournaboup sur le parking bien désert
Merci Jean-Claude pour cette belle randonnée et à la prochaine...on espère 👍
Que du bonheur !
Dénivelé 800m et 15km environ
Commentaire Rosy
C'est un grand jour pour l'Association des Montagnards Argelésiens car la section "Course à pied" organise son 1er rassemblement compétitif "Pibeste Intégral".
La Marche Nordique participait activement avec une sortie à 9 h....Nous nous sommes retrouvés (Eh!! Oui!!! Vous l'avez deviné, parmi les marcheuses....Jean-Pierre 😉) ...., la section montagne( et la marche nordique), pour notre sortie du samedi mais cette fois avec un départ, Place du Foirail... et comme les coureurs de l'après-midi, nous sommes passés sous l'arche de départ 😍😍😍
Nous avons suivi le tracé des courses, sur le chemin du Balandrau puis la montée vers Ouzous mais nous avons laissé la montée vers Salles, sur notre gauche..
(montée qui fut fatale à 2 coureurs lors de la course des 12km )
Arrivés à Ouzous, nous avons poursuivi en direction du Pibeste et, plongeant sur la droite le long du ruisseau, nous avons inauguré un nouveau chemin passant par le petit pont (si joli 😘😘..) à droite, jamais franchi au préalable.... Ce fut fait et, après un petit jeu d'équilibre sur les cailloux du ruisseau, nous voici dans les rues d'Ouzous pour prendre les sentiers connus... Nous revenons vers le chemin du Balandrau, atteignons la place de Vieuzac et faisons notre magnifique photo du site sous l'arche....
Belle boucle de 8 km faite par 16 marcheuses et Jean-Pierre en 1h35 de déplacement pour 220m de dénivelé cumulé. Bravo 👏👏👏👏
Commentaire Josiane
Le Tuquet du Lésis et le Rocher de la Boup par Lias
Mais qu’es aquo le Tuquet du Lésis ? Où Jeannot veut-il nous conduire ou……nous perdre en ce vendredi 13 noyé dans un brouillard dense et humide ? L’aventure commence à Berbérust Huguette remarque que malgré la grisaille ambiante nous voyons la carrière du Pibeste Soyons optimistes ! Nous démarrons par un chemin de tous les dangers : ruisseaux aux pierres glissantes , taureau annoncé qui sans doute nous épie , hautes herbes qui nous arrivent à la ceinture …A la croix de Lias, Jeannot nous indique le Tuquet du Lésis perdu dans les vapeurs des nuages et l’ascension commence .Des fleurs partout : orchidées sauvages, thym, aubépine, boutons d’or …Tout en grimpant, Annie nous apprend que « tuquet » signifie « petit sommet » en patois bigourdan . Allons-y donc pour le tuquet ! Mais bientôt nous rentrons en plein dans le brouillard .Le paysage disparaît .Nous entendons des sonnailles mais n’apercevons aucune vache …Où sommes-nous ? « Il est là.. » nous assure notre guide .Croire sans voir . C’est ça la confiance !
Et de fait, nous atteignons le « petit sommet . » Du haut de ce balcon qui surplombe la vallée de Castelloubon aujourd’hui invisible , nous ne distinguons que les pâquerettes devant nos chaussures . « Il faudra revenir ! » propose Guy .Nous descendons jusqu’au rocher de la Boup pour le pique nique .Le petit vent qui nous taquine agace aussi les nuages et une soudaine éclaircie nous révèle le Tuquet du Lésis dans toute sa grâce et au loin dans la vallée Ourdon et Justous au soleil .
Tandis que nous retournons vers Lias il nous rattrape nous aussi ce soleil ! Personne n’a été oublié dans le brouillard .
26 nous sommes partis, 26 nous sommes revenus ,les mines réjouies et encore plus réjouies quand à l’Instant Vert, Jannick , Josette et Odette nous ont partagé leurs pâtisseries « maison » .Merci à elles !
Merci à Manou , tire file , pour ces 9,300km et 440m de dénivelé de la grisaille à la lumière et un merci tout spécial à Jeannot qui bien qu’Armande n’ait pu se joindre au groupe ne s’est pas dérobé devant l’engagement pris auprès des Montagnards .
Un peu de rémission et de facilité avec un sentier bien tracé par des milliers de pas avant nous dans une austérité totale faite de pierres et de végétation arbustive coupée par endroit par de grandes dalles rocheuses sur lesquelles un filet d'eau serpente . Le sommet est vite devant nous et les falaises qui dominent le canyon d'Anisclo nous attirent comme un clou sur un aimant .Attention , une chute ferait le bonheur des vautours ! Nous quittons la crête pour descendre côté nord sur des pelouses jonchées de fleurs et de pins en face du Mont Perdu tout enneigé .Repas puis photo au milieu de ce qui reste de nos MA ! Seuls les GO sont sortables !!!
Il est temps de rentrer, un petit arrêt au bar du coin avec des toutous qui courent après les glaçons puis nous prenons la route de la France sans oublier un peu d'essence et quelques courses à Parzan .
Dénivelé du jour 700m sous un petit vent salutaire.
Je tiens à remercier Alicia la patronne de notre auberge pour la qualité de son accueil, des repas et des chambres ..en vérité une bonne adresse !
Merci à notre groupe pour l'ambiance et la confiance qu'ils nous ont démontrées.
A bientôt pour de nouvelles aventures
Bernard & Patrice les Aribo qui sont si beaux 😀
C'est le plat de résistance du séjour ! Nous faisons deux groupes, le A et le B
Le A que je dirige fera l'ascension par la Vire del Toro et le B conduit par Bernard prendra la voie normale . Nous partons ensemble assez tôt toujours avec un temps superbe puis mon groupe s'écarte pour emprunter le sentier pas évident du tout de la vire .On redescend de 180m en cherchant le sentier à travers buis, coussins piquants, racines et cairns afin de longer la muraille le plus possible car à notre gauche c'est le vide !!! Quelques pierriers plus tard nous atteignons un passage bien dégagé qui nous vaut des vues à "couper le souffle" et nous rejoignons le Canal Mayor qu'il faut remonter dans un goulet où nous tentons d'éviter les chutes de pierre . Retour à la civilisation avec le panneau directionnel le long de la voie normale que le groupe B a emprunté une bonne heure avant nous . Un isard en ombre chinoise dans la pinède nous ravit le regard puis la jonction avec le groupe B se fait en douceur à comparer à ce que nous avons vécu pendant presque 4 heures ! Miam-miam au sommet de la Pena et retour ensemble par les crêtes qui dominent le désert de cailloux versant nord .D'un commun accord nous prenons la Fara Alta beaucoup plus facile et beaucoup plus courte sans enlever de valeur émotionnelle à celle-ci . La descente se fera en roue libre après avoir passé presque 11h au grand air .
Bravo aux volontaires A qui ont avalé 1380m de dénivelé dans des conditions difficiles mais gratifiantes et bravo aussi aux valeureux B qui ont mangé 1250m
Repos pour tous avant le Mondoto demain
Patrice
Nous prenons la direction de Ainsa puis de Samitier pour une randonnée touristique au bord de l'eau .Petite grimpette par un sentier nouvellement aménagé qui évite en partie la piste roulante pour arriver à l'ermitage de Los Santos Emeterio y Celedonio et les ruines de la tour de guet, tout cela perché sur un promontoire qui domine le lac de Mediano et ses eaux turquoises . Après quelques singeries depuis le sommet de la tour nous descendons sur Liguerre de Cinca pour casser la croûte à l'ombre de ces murs joliment préservés. Nous prenons le temps de vivre avant de partir pour le défilé d'Entremon qui comprend deux passages étroits qui demandent de l'attention . De jolies Ramondas en fleur tapissent les murailles qui dominent le Rio, avec Martine et Jean- Michel nous cherchons en vain des fossiles avant d'arriver au pied du barrage que nous monterons sagement par la route et non par les escaliers défendus.
Le clocher de l'église de Médiano émergeant de l'eau est insolite et beau à la fois.
Retour en boucle sous la canicule et pot sur la Plaza Mayor de Ainsa qui se terminera par une petite visite sur les remparts .
Dénivelé du jour 650m et beaucoup de sueur !
Patrice
Début du séjour aragonais pour 20 MA venus prendre un bain de jouvence sous le soleil bienfaiteur du Sobrarbe .
Le Castillo Mayor est une montagne isolée et détachée qui donne l'impression d'une table qui se serait effondrée par le centre créant de ce fait un entonnoir par lequel nous grimpons en douceur .Le joli muret de départ fait place à une végétation composée de buis et de chênes puis plus haut ce sont les coussins de "belle-mère"qui prennent le relais bordant une immense cuvette où paissent les moutons , nous passons une ruine avant d'attaquer la crête et les précipices qui donnent le tournis . Le sommet 2015m est dans l'alignement et la vue est spectaculaire . En face de nous se dresse le vaisseau de La Pena Montanesa et sa proue gigantesque .Que de bonheur !
La descente se fera au travers de lapiaz où il faut un pied sûr et nous aurons droit à un petit coup de pluie pour nous rafraichir ( Météo Blue ne s'est pas trompé ).
Les vêtements ont séché en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, les voitures nous attendent pour nous emmener découvrir notre auberge à Laspuna .
La 3eme mi-temps peut commencer !
Dénivelé du jour 900m sous le soleil et une brise salutaire
A demain, Patrice
Commentaire Rosy
Ce jeudi, nous étions, sûrement, plusieurs à scruter le ciel, ce matin, car c'est la dernière sortie de Laetitia avec nous.
Notre destination est le Hautacam .....nous démarrons d'Argelès, sous le brouillard... mais confiantes, Laetitia (et les webcams) nous assure d'un grand soleil sur le site👍👍👍.
Nous arrivons au parking du Col de Tramassel à 1599 m pour un échauffement face à une mer de nuages impressionnante...(voir dans le reportage photos)
Laetitia nous fait passer par le côté droit du site du Hautacam pour arriver au parc à bétail, qui fut notre premier arrêt, effeuillage😉😉 et hydratation, comme vous le verrez dans le reportage photos.. Nous poursuivons sur les pistes de fond de la station pour atteindre un plat qui nous permet de nous hydrater et d'admirer le paysage fait de "mer de nuages" côtés vallées et de vols de vautours fauves justes au-dessus de nous...
Nous continuons notre montée par un passage à droite en direction du point culminant de notre sortie, à savoir le Soum de Dabant Aygue ou Pic du Hautacam à 1746m. La photo de groupe vous montrera des personnes "dans le vent" 😘😘😘 et heureuses de cette belle destination.
Le retour se fait par la piste Houscau puis le contour de la Pène de Caucipe pour rejoindre le parc à bétail. Ce retour n'est que plaisir d'admirer la splendeur du paysage et excellente gestion de la sortie par Laetitia qui, une fois de plus, nous a régalés de sa connaissance des plantes endémiques.
La fin de la boucle ne pose aucun problème et nous arrivons à Tramassel pour des étirements qui clôturent la séance.
Laetitia a prévu un temps de retour sur l'activité avec un petit écrit.....Ensuite, c'est, pour nous, le moment de la remercier pour cette sortie et de reprendre nos véhicules.
Belle boucle de 9 km 400 faite par 17 marcheuses et 2 marcheurs en 1h 46 de déplacement et 216 m de dénivelé cumulé. Bravo à tout le monde.
Photos Rosy Photos Brigitte G.
Commentaire "Rencontres florales" de mai
* L'asphodèle blanc
C'est la première plante que nous avons croisée en prenant le sentier pour le pec du Hautacam (ou Soum de Dabant Aygue) et que l'on a eu du mal à nommer car uniquement en feuilles ...plus loin dans la montée, j'ai pu prendre, en photo, les fleurs, encore en boutons pour les identifier et ce fut vite fait avec Marie et Marie-Claire qui ont reconnu l'asphodèle qui, autrefois, servait à nourrir les cochons en temps de disette.
Les asphodèles annoncent la fin de l'hiver.
* La gentiane printanière
C'est la seconde plante que nous avons vue, sur le retour...Impossible de passer à côté de ce flamboyant bleu des fleurs de gentiane d'abord acaule (sans tige que vous ne verrez pas dans le reportage photos!!) puis de gentiane printanière qui a inspiré nombre d'écrivains et de poètes.
En 1945, le botaniste Samuel Aubert questionnait: "Avez-vous admiré comme ils le méritent ces parterres de gentianes dont l'azur est le reflet d'un ciel pur ; votre âme a-t-elle jamais vibré au spectacle de tant de beauté ?
Commentaire Serge S.
Un grand merci à Guy qui par une magnifique journée nous a bien mené (18 montagnards)
Sur les hauteurs de barège a la cabane d arbéouse depuis le petit village de sers dont nous avons gravis la pente a sa cadence raisonnable parmi les fleurs en profitant des arrêts repos pour admirer le paysage environnant à 360 degrés exemple la montagne fleurie avec ses sommets et ses cols encore enneigés pour enfin atteindre le but et a l'heure (bravo à lui surtout afin de prendre l aperto et notre collation dans une' ambiance rafraichie par la neige
Merci à toi Guy et pardon pour se retard tu auras le droit à un apéro supplémentaire à la prochaine randonnée que tu mèneras
Commentaire Eric B.
"Le Grand Barbat, ça vous gagne, mais ça se gagne !"
12 MA motivés l'ont découvert ce 8 mai en défilant derrière notre porte-drapeau Guy N. vers ce pic renommé.
Résumé chronologique :
- 7h45 - Départ de la Cabane d'Arrioussec à 1400m. La météo est ok.
- 9h14 - Passage au Lac du Barbat dégelé à 1973m.
Un peu plus haut, on se " cramponne" pour monter dans un neige molle qui avale les mollets du traceur. Il fait trop doux !!
11h24 - La météo se gâte et le brouillard s'épaissit. Encordement au carrefour des brèches du Barbat et de Badescure.
3 Cordées menées par Guy et ses Panthères roses, Michel le costaud et Alain le bouquetin qui vont se relayer pour nous amener dans cette forte pente vers la brèche du Barbat à 2640m.
13h15 - C'est toujours bouché ! Et, en attendant une possible embellie, nous casse-croûtons à la brèche. Vainement, car si le Grand Barbat montre parfois son nez dans les nuages, il serait imprudent d'aller plus loin. C'est la montagne qui commande !!
14h07 - Descente dans le brouillard, avec beaucoup de précaution car la pente semble plus forte qu'à la montée. L'éclaireuse en tête a su retrouver le chemin !!
16h57 - Retour aux cabanes, puis aux voitures, sous le regard curieux mais méfiant d'un isard.
Pot convivial au cul des voitures agrémenté d'excellentes pâtisseries. Merci Mesdames et ..Msr.
Merci à Guy et à ses collaborateurs de cordées pour cette physique et superbelle rando, écourtée certes de 196m, mais le bon montagnard sera toujours celui qui sait rentrer chez lui !!
