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Les mardis de 10h00 à 12h00

   Les Montagnards Argelésiens

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Reportages Photos Section Montagne

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Commentaire Rosy

Tout le contraire de jeudi, ce samedi est lumineux. Nous sommes 15 marcheuses au départ de Lau-Balagnas pour une boucle passant par Adast, St Savin et retour.

Nous traversons le Sailhet "à la fraîche" sur de l'herbe humide de rosée .... Puis nous arrivons à la voie verte, à la sortie d'Adast, pour, derrière la menuiserie Trey, attaquer le raidillon menant au Château Miramont de Jacques Chancel.... et là, ce fut la course au trésor...😳😳😳 avec l'équipe bleue, de "Mado and Co" et l'équipe rouge de Monique et Rosy...L'une est partie à gauche....et ...l'autre à droite !!! "le Trésor"= l'église d'Adast En regardant le reportage photos, vous saurez quelle équipe a gagné 😊😉😍!!!

Ce fut ensuite la montée vers Saint Savin, heureusement sous les arbres car la température est bien estivale 👍👍👍

Comme l'indique la photo du site, nous faisons un "bouquet de marcheuses" pour décorer la fontaine de la place....

Pour le retour, sans encombres, nous descendons vers l'église de Balagnas puis traversons le Sailhet et retrouvons nos véhicules....

Belle boucle de 9 km faite par 15 marcheuses en 1h 40 de déplacement avec un dénivelé de 250 m Bravo à toutes 👏👏👏

 Photos Rosy

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 C'est 18 Montagnards qui ont accompagné Guy G. pour la sortie au lac d'Artouste.

Photos Fatima   Photos Guy G.

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Commentaire Rosy

C'est dans la Vallée que nous choisissons de marcher car les prévisions de chutes de pluie sont grandes.😱😱😱..

Nous prenons la direction du "Pont de fer" .... avec la possibilité de faire un choix à ce niveau-là.....

" Au sec et secs 😘😘 !!!", nous commençons par la traversée du Parc, la petite descente vers le Théâtre de la Gare pour croiser la Voie Verte et poursuivre en direction du chemin du Comte .....

C'est d'un très bon pas que nous parvenons aux fresques de Thomas dans la partie "sous la 2x2 voies " ....Ce fut l'occasion pour Marie-Claude de les admirer ☺☺☺☺

A l'entrée du Pont de fer, nous marquons une pause, comme prévu, pour décider de la suite de notre boucle.....C'était sans compter, évidemment, sur l'arrivée d'un acteur principal...."l'élément liquide jaillissant du ciel !!!!" D'abord quelques gouttes puis ce fut un arrêt obligatoire pour revêtir un vêtement de pluie...

Vous l'avez deviné ...notre choix fut de revenir vers Argelès en rejoignant le chemin du Balandrau. C'est ainsi que vous nous verrez, traversant Ayzac-ost, comme des fantômes dégoulinants 😰😰😰

Après la grimpette le long du Château d'Ayzac, nous restons sur les arbres pour nous abriter de la pluie qui ne cesse pas mais...tout va bien 👍👍👍 car il ne fait pas froid. Au carrefour de Gez, Ayzac et Ouzous, nous prenons le temps de poser pour la photo du site ....

Retour jusqu'aux véhicules sans un seul arrêt. Rendez-vous est pris pour une montée au Col du Soulor, jeudi prochain le 25 août, juste le matin.

Boucle de 8 km 950 faite par 14 marcheuses et Jacques en 1h 38 de déplacement avec 250 m de dénivelé cumulé. A vos sèche-cheveux !!! 😉

 Photos Rosy    Photos Annie

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Commentaire Stéphanie

Nous étions pour ce samedi 9 marcheuses dont deux nouvelles et avons sillonné les berges du Gave jusqu au petit pont en bois donnant accès à la coulée verte puis avons fait demi tour jusqu’à la fresque pour la faire découvrir aux nouveaux ainsi qu à Noëlle.
Nous sommes retournées aux berges pour récupérer les voitures et faire quelques étirements.
La marche a été réalisée en 2h avec quelques arrêts et nous avons parcouru 10 km

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Commentaire Manu

Journée très particulière aujourd’hui, avec la dernière rando accompagnée par Jeannot, après 17 ans de dévouement au club en tant qu’accompagnateur. Jeannot et Armande laisseront un vide auprès de tous les montagnards qui ont découvert avec eux la pratique de la montagne dans la convivialité et l’échange. Je ne rappellerai pas les neuf voyages exceptionnels, reconnus et organisés par Jeannot et Armande.  

La journée s’est clôturée à “ l’Instant Vert” avec de bons gâteaux et la séquence émotion de Jeannot chantant en solo le Refuge.

Au menu du jour, la cabane de Couret en partant de la piste de Germs-sur-l’Oussouet. Seize montagnards ont “accompagné” Jeannot pour cette dernière sortie. Beaucoup de troupeaux (vaches, brebis, chevaux) le long du chemin jusqu’à la cabane. Très beau panorama sur les sommets et la plaine. Durant la pause piquenique, échange nostalgique avec Jeannot sur ses 17 ans d’accompagnateur. Puis la chaleur se faisant sentir, nous sommes repartis par un autre chemin à travers la forêt. En résumé, 410m de dénivelé et 8.6km.

Grand merci à Jeannot, à Marie Pierre pour le pot et aux traiteurs pour les gâteaux.

Photos Eric B.    Photos Manou     Photos Manu    Photos Caroline

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Commentaire Rosy

Ce jeudi matin, nous sommes 12 et Mado au départ de notre sortie dont la destination est "L'instant Vert" ...un charmant restaurant en bordure de la Voie verte à Lugagnan.

Ayant commandé notre déjeuner, nous partons le sac à dos léger pour notre dernière sortie longue du jeudi, de ce programme été 2022.

Nous commençons par traverser le Parc Thermal et nous nous engageons sur le chemin du Comte pour atteindre le Pont en fer.

Ce fut ensuite la grimpette pour parvenir au sommet du Buala, lieu de notre photo de groupe. Nous prenons le temps d'admirer le paysage avant de redescendre côté Boô. Comme à l'accoutumée, nous posons devant la très belle église de Boô avant de poursuivre en direction du bord du Gave......et du petit pont en bois qui marque le début de notre marche vers Lugagnan, sur la Voie Verte.....Il fait déjà chaud et, au bout de très peu de temps, la petite voix de Jocelyne nous dit: " Il existe un sentier le long du gave pour les VTT" Quelle bonne idée 👍👍!!!! Nous sommes sous les arbres pour continuer notre route jusqu'à Lugagnan....

Arrivés aux terrains de foot de Ger-Lugagnan, nous devons accélérer car notre arrivée au restaurant est attendue. Forçant l'allure, nous parcourons les 2 derniers kilomètres sous la chaleur de midi 😥😥😥 ils furent les plus difficiles mais l'accueil est super à "L'instant Vert" 👌👌👌👌

Une bonne chaise devant un verre d'eau fraîche nous redonna vigueur pour la suite .....Le repas fut excellent et pris dans la bonne humeur.

Je ne vous parle pas du retour qui se fit en voiture car la température était trop chaude .....

Beau trajet aller de 15 km fait par 11 marcheuses et Jacques. Excellente sortie en marche nordique 👏👏👏👏

Photos Rosy

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Commentaire Annie

Que dire de ce trek?

Je ne vais pas vous raconter, ni vous décrire chaque journée, ce serait trop long...

Je vais aller à l'essentiel😉, j'espère !!

Trek inoubliable dans un décor très sauvage où tout nous a souri.

Nous avons cheminé de refuges en refuges, circuit avec en ligne de mire des glaciers différents chaque jour en passant par des cols, des lacs, des alpages dans un univers d'altitude encore vierge.

Ce fut une réussite grâce à notre sympathique et professionnelle accompagnatrice Odile qui a su gérer un groupe de 14 personnes...

Lever tôt le matin sous le soleil, départ programmé à la minute près (les montagnards argelésiens ne sont jamais en retard) et nous voilà partis à la découverte de ce premier parc naturel d'Europe, de paysages différents chaque jour où les montagnes sont gigantesques, impressionnantes, les cols et pics franchis à plus de 3000m sont monnaie courante dans les Alpes. 

L'accueil dans les refuges fut chaleureux, des repas copieux  nous attendaient chaque soir et des douches bienvenues, à part un soir où par manque d'eau, ce fut le système D, baignade dans le lac dans une eau chaude pour certains et pour d'autres bain de siège dans la baignoire extérieure du refuge où l'eau coulait à flot par un tuyau 😅😆, moment d'anthologie.

Après 6 jours de randonnées intensives (passages avec câble, aériens, assez techniques etc..) la cerise sur le gâteau sera l'ascension du Gran Paradiso (rien à voir avec le Grand Paradis, paradiso voulant dire paroi)

Le samedi, nous montons au refuge Victor Emmanuel où nous retrouvons les quatre guides (de beaux italiens David, Lucas, Étienne et Alex😉)

Nous formons les quatre cordées.

Le professionnalisme des guides nous met en confiance et les consignes sont données (entre autres, le départ se fera à quatre heures du matin à la frontale sur des blocs, sur une moraine de plus en plus importante due à la fonte du glacier, donc une ascension de plus en plus difficile par un nouvel itinéraire).

La progression sur le glacier fut soutenue, paysage grandiose 🤩🤩, ponts de neige délicats à franchir, crevasses à éviter dont une tellement importante que des échelles ont été installées pour la franchir.

Après ce passage, le sommet n'est plus très loin même si les difficultés sont loin d'être finies, passage aérien, étroit mais l'assurance des guides nous a menés jusqu'au sommet au pied de la statue de la Vierge qui a eu droit à la bise ainsi que le guide (ça va de soi😉)

Souvenir incommensurable !!

Retour à l'heure du déjeuner au refuge où nous avons mangé avec les guides et notre super accompagnatrice Odile.

Pot de l'amitié, échange de nos impressions, c'est fini (que le temps passe vite...) 

Descente du refuge sous l'orage et retour à la civilisation 😒

Nous nous accordons une journée sur Chamonix où chacun a fait suivant ses envies (visite de l'aiguille du Midi, resto pantagruélique, shopping, petite randonnée et le Montenvers ou mer de glace pour d'autres)

Nous sommes rentrés heureux, des souvenirs à foison et presque des regrets de rentrer😥😥.

En moyenne, nous avons fait 1000m de dénivelé et une quinzaine de kilomètres chaque jour multiplié par sept😛😝🤪😜

Merci à Marie Thé  et Jean-Pierre pour l'organisation, merci à chacun de vous pour l'entraide, la convivialité, la bonne humeur et la super forme ...

A l'année prochaine pour de nouvelles aventures, on en redemande, un petit coucou à nos joyeux lurons 🤣😂😅, aux têtes pensantes (il en faut) et à chacun de nous si différents les uns des autres. 

Il en est ressorti un groupe homogène et soudé 👍🤝👏✌

Photos Annie J1  Photos Annie J2   Photos Annie J3    Photos Annie J4

Photos Annie J5    Photos Annie J6   Photos Annie J7

Phoos Thierry J1  Photos Thierry J2  Photos Thierry J3  Photos Thierry J4 

Photos Thierry J5  Photos Thierry J6  Photos Thierry J7 Photos Thierry Chamonix

Photos Christian M.

Vidéo Thierry J1 à J6    Vidéo Thierry Ascension du Grand paradiso

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Commentaire Stéphanie

Encore une journée de canicule qui n’a pas empêché 15 femmes et 5 hommes de tourner autour de Cauterets et quel tour ! Départ du parking de Concé vers Catarrabes, puis Aumède. Nous traversons le restaurant de la ferme Basque avec déjà les papilles émoustillées par les odeurs de grillades.

Une petite pause à l’ombre avant de repartir vers la Raillère pour se rafraîchir à la cascade du Lisey et emprunter le chemin des Pères pour descendre jusqu’aux anciens thermes de Pauze le Vieux, pour le pique-nique qui fût le bienvenu. Pause terminée, direction de la ferme de la Reine Hortense, pour prendre le sentier qui redescend sur Concé pour trouver de bons rafraichissements.

Merci à Manou et Hervé pour cette randonnée sur des chemins ombragés ce qui n’est pas pour déplaire lors de fortes chaleurs.

Dénivelé 790 m, 15,740 kms et 6 h 30 de marche.

Photos Manou

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Commentaire Brigitte

Ce matin nous étions 7 marcheuses  et notre ami Jacques maillot jaune.🤠

Nous sommes partis du sailhet direction Adast jusqu'à la cabénère que Jacques a découverte.

Cela mérite une photo....🌞

Puis grimpette jusqu'à St Savin, où nous avons fait la photo de groupe. 

Pour le retour nous sommes passés derrière l'abbatiale,  par le chemin des ânes et des lamas (découvert lors d'une précédente balade) jusqu'à Lau Balagnas. 

Dernier arrêt pour nous rafraîchir et accorder une micro pose....à  notre maillot jaune🤣🤣 et hop hop on repart jusqu'au Sailhet

Soit 9kms en 2h30.

Photos Brigitte

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Commentaire de Manu

Bienvenue à nos nouveaux montagnards. Nous étions 25 randonneurs au départ de la Moulata pour rejoindre le lac de Bassias. Superbe panorama au-dessus de la couverture nuageuse, d’où émergent des pics bien identifiables.

Après un briefing et un rappel des bonnes règles à respecter de notre leader Eric, nous avons en partie emprunté, de la Moulata jusqu’à la Hourquette d’Ouscouaou, le vieux chemin d’Houscau (voir ci-dessous). En continuant sur la crête, nous arrivons au pied d’une éminence que nous gravissons facilement. Arrivés à un col sans nom, nous remontons légèrement un sentier à flanc jusqu’au lac. Piquenique à l’extrémité du lac, bain de pieds et baignade pour certains. Retour par le même chemin avec un détour à une cabane de chasseur (Ouscouaou). Pot de l’amitié autour d’une grande tablée au Café Isaby d’Artalens.

Grand merci à notre GO Eric, notre serre-file Michel pour cette superbe journée et aux pâtissières Eliane et Domi.

Le Chemin du Houscau et de la Hourquette Ouscouaou permettent de comprendre toute l’importance ancienne de la domination de la vicomté de Castelloubon sur le Lavedan.

Le chemin de la Hourquette d’Ouscouaou est celui des estives qui depuis Berbérust et Lias s’élève au soum de Trézéres, chaînon limitrophe entre Castelloubon et Davantaygue, puis au soum de Dabant-Aygue pour parvenir au col de la Moulata.

Au-delà de la Hourquette, outre l’accès à l’abbaye de St Orens, un premier chemin se dirige vers la vallée de l’Adour de Lesponne (appelée vallée de Bagnères). Un second chemin au sud, conduit vers les hauts bassins des lacs d’Ourrec et du lac Bleu unis par le col de Bareilles. Au-delà encore, le sentier poursuit vers Sencours et atteint Tournaboup, actuel parking du Pic du Midi sur la route du Tourmalet.

Les prétentions des seigneurs de Castelloubon allaient jusque-là, à la fois pour avoir prise sur le chemin du Tourmalet et sans doute pour en imposer aux Barégeois et aux Campanois.

 

Photos Eric B.     Photos Manu       Photos Caroline

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Commentaire Rosy

Comme prévu dans le programme d'été....le premier jeudi du mois, nous allons à Couraduque.   Arrivées (vous l'avez deviné 😉😉😉....vous aurez du féminin dans tout le commentaire !!! ) parmi les premiers, nous partons vers le col de Bazès en prenant à droite juste après la barrière. Quel bonheur de marcher sur un tapis de "velours!!!!"           Le sol est recouvert d'une fine couche d'herbe encore humide de la pluie de la veille ....Après une demi-heure, il est temps de s'hydrater et d'enlever les rares couches inutiles..... Il fait déjà moite  car la température est très estivale...

Nous croisons un groupe de personnes tenant en laisse des chiens de traîneau    Peut-être y avait-il un stage de formation et d'entraînement ?  Toujours est-il qu'en montant, ce furent les seules autres présences sur notre parcours... 

Nous nous dirigeons vers le Pic de Bazès en suivant les lacets des pistes de fond et bien sûr, nous croisons la cabane jaune que vous verrez dans le reportage photos et parvenons, après une sacrée grimpette, au col de Bazès, 1509 m, pour la photo du site..👍👍👍 

Le retour se fait, par le haut, pour assurer notre sortie en boucle....😘😘😘

En descendant vers nos véhicules, que de monde!!!  Y aurait-il quelques vacanciers dans le secteur?.... Même une colonie de vacances..!!!

Aucun souci pour notre retour et, après quelques étirements, nous repartons pour Argelès.

Belle boucle de 7 km 800   faite par 14 marcheuses    en 1 h 27 de déplacement et 1 h 52 au total     avec 570 m de dénivelé cumulé...Bravo !!!

Photos Rosy

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Comentaire Eric B.

Pour découvrir l'itinéraire bis pour aller à la grande cascade de Gavarnie, suivre Martine. Ce qu'ont fait hier 6 MA matinaux.

D'abord éviter le péage pour stationner, surplomber le village endormi et monter au plateau de Bellevue où les marmottes vous accueillent.

Poursuivre rive gauche du torrent vers la cabane des soldats pour une pause détente.

Redescendre rive droite, monter voir le bas de la cascade des Sarradets et ses huitres ( hélas fossilisées ! ) , varianter vers les  grottes 

du calcaire mille-feuilles des Crampettes , continuer ( parfois avec les mains ) sur les balcons sud du cirque , et là .....retrouver le flot 

des petites fourmis qui montent à la cascade du cirque !

Pique-niquer  loin en évaluant  l'échelle des Sarradets , rentrer au parking en longeant la plage rocheuse de l'hôtellerie et via la variante de la Prade.

Au final, 16 km au compteur et 800 m de dénivelée cumulée.

Merci Martine pour cette belle sortie de découverte inédite.

 Photos Eric B.      Photos Martine

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Commentaire Rosy

Ce samedi matin, sous un plafond nuageux assez bas 😫😫, nous partons avec un pique-nique sur le dos pour parcourir "Les Balcons du Pibeste".

Nous sommes 8 marcheuses et marcheurs pour prendre le chemin du Balandrau.

Vous verrez, dans le reportage photos, notre arrêt "ravissement" devant 2 louveteaux du Parc Animalier, avec une première fois, "hydratation et effeuillage" 😘...

Ensuite nous allons vers Salles en grimpant un sentier, assez raide que deux marcheuses d'entre nous ne connaissaient pas.. Ce sentier nous amène dans la brume... et nous offre un paysage automnal !!!!

Traversant Salles, nous poursuivons en direction d'Ouzous que nous atteignons pour une photo de groupe que vous verrez dans le reportage-photos.

Après une petite descente le long d'un cours d'eau situé à la sortie d'Ouzous( pour nous, ce jour-là), nous prenons à gauche vers... les Grottes.....

Quelle impatience!!!         Parmi nous, certaines personnes n'y étaient jamais venues ...mais avaient entendu parler de..!!!   ce coin mystérieux !!! 😱

Vous trouverez dans le reportage-photos, des témoignages de notre charmant moment passé dans ce lieu 😍😍

Continuant dans la direction de Lourdes, nous passons au-dessus de Vidalos et arrivons dans le secteur de notre déjeuner, sur les crêtes, face au Buala et à la vallée d'Argelès encore sous les nuages... Ce fut le moment d'une autre photo de groupe  pour le site  👍 👍       

Le déjeuner fut très convivial et notre groupe reprend la route en passant par les crêtes du "Balcon du Pibeste" pour atteindre le "mamelon boisé", entre Pibeste et Gave qui fut le lieu d'une "ascension  😉" pour arriver au sommet du Nageau à 533m.

De ce site, le Nageau, nous reprenons notre parcours en direction de la Tour d'Agos car ...devinez !!!   Quelques petites voix ont dit : " On ne connaît pas !? "

Nous atteignons la Tour.... et ...prenons le sentier en bordure du Gave nommé "Les Mots du Gave"....   Encore une découverte pour Catherine et d'autres...

Le retour vers le parking d'Argelès, se fit sans encombres en passant par le chemin du Comte....et....le Parc Thermal.

Belle boucle de 16 km au total ( 8 km 300 avant déjeuner + 7 km 700 après)    faite par 6 marcheuses et 2 marcheurs     avec 500 m de dénivelé cumulé

en 3 h 37 de déplacement.   Bravo à tout le monde et surtout à Catherine dont ce fut "Une Première"...       

Photos Brigitte    Photos Rosy

 

 Commentaire Brigitte G.

Aujourd'hui, nous étions 15 marcheuses et 1 marcheur Christian pour supporter nos bavardages.

Nous voici en route, direction le Saut du Procureur. Nous avons traversé le domaine des "lapins au ricard". A Gez, nous avons fait la photos de groupe dans la nouvelle aire de jeux. Nous avons ensuite continué vers Salles et retour à Argelès par le Balandrau.

Soit 11 km.

Photos Brigitte G.

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Commentaire Annie  

Quelle belle randonnée !!

Que du bonheur !!

Aujourd'hui au programme, le soum Blanc des Espécières proposé par notre binôme féminin Anne-Marie et Ghyslaine, départ du col des Tentes où le soleil est au zénith ☀️☀️ et une température idéale qui donne "la pêche".

Le soum Blanc des Espécières est un sommet calcaire à deux bosses qui surplombe le col de Boucharo mais un seul dôme est visible depuis le col des Tentes.

Itinéraire très varié, pas énormément de dénivelé mais une pente très raide sur un sentier instable qui a permis à certains de se familiariser aux difficultés du terrain où il faut s'aider des mains et c'est un bon apprentissage pour s'aguerrir...ou pas 😉

Une fois au sommet, le panorama est grandiose, différent suivant le versant regardé, espagnol ou français. 

Le pique-nique se fera côté espagnol à l'abri du vent, endroit idyllique invitant à une petite sieste après toutes ces  attentions (friandises, douceurs liquides etc..)

Nous reviendrons par le lac Sautaro, remonterons  sur le col de Espécières puis descente sur le lac des Espécières où nous retrouverons nos voitures au col des Tentes.

La journée se terminera par un pot bien frais offert par nos GO et des gâteaux par deux montagnardes pâtissières 😋

Merci les filles 🤗

Qu' il fait bon, randonner avec les Montagnards Argelésiens !

Photos Annie      Photos Marco    Photos Martine

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Commentaire Annie

Une fois de plus, il était annoncé une journée caniculaire avec 34 degrés mais cela n'a pas empêché 16 MA de se retrouver pour le soum de Hailla avec notre GO Martine.
Cette randonnée avait été programmée pour le mois de mai mais la météo étant défavorable, elle fut annulée et gardée en réserve pour une prochaine fois.
Martine ayant l'opportunité de remplacer un de nos GO indisponible aujourd'hui, nous voilà partis pour Sainte Marie de Campan, départ de la randonnée.
Après une traversée dans un joli bois, deux possibilités s'offrent à nous, soit la montée sur le courtaou d'Empieye, soit les Cabanettes.
Martine ayant décidé de suivre la seconde proposition, nous montons à l'ombre, sous les arbres mais que la pente est raide😝😜😛.
Nous sortons du bois et arrivons aux Cabanettes où une pause s'impose et sera la bienvenue.
A partir de là, plus d'ombre, que du soleil ☀️☀️☀️, de la chaleur et une montée redoutable jusqu'au soum de Hailla.
Il est 12h, le but est atteint et le pique-nique attendu avec impatience, surtout nous réhydrater et nous reposer.
Après la photo de groupe "originale" proposée par une montagnarde, nous reprenons le chemin du courtaou d'Empieye où nous ferons une nouvelle halte à la fraîche sous un arbre et un petit vent rafraîchissant...
Belle boucle de 14,5km et 1080m de dénivelé
Gâteaux faits maison, savourés au parking ainsi que les boissons, quel délice 😋😋
Merci Martine pour cette jolie sortie même si : "quine calou" comme on dit chez nous..

Photos Annie      Photos Eric       Photos Martine

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Commentaire Rosy

Canicule !!!! Ce n'est pas ce qui me vient à l'esprit, ce samedi matin, en ouvrant la porte,... mais.... pas de souci... pour une sortie en marche nordique, nous étions 11 marcheurs au rendez-vous.... Vous l'aurez deviné...la question n'était pas "de rester à l'ombre"...mais quelle découverte faire?!

Trouvé !!! Certains ne connaissent pas la légende du Serpent d'Isaby donc direction Pierrefitte et la fresque de Thomas...

Nous partons, après l'échauffement, vers le Sailhet... et poursuivons le long de la voie verte, sur un sentier longeant les champs de maïs que vous verrez dans le reportage photos...et heureusement!!!!! car des "flots groupés de cyclistes" ont envahi la voie verte, restes de la comète "Tour de France"😉😉😉

Nous arrivons au pied de la fresque qui fut le lieu de la photo du site... Vous trouverez l'essentiel de la Légende d'Isaby ci-après et les références pour en savoir plus..

Le retour se fait sans encombres.....sauf un petit passage nouveau 👍👍👍 qui passe entre les tennis et le Gave pour rejoindre nos véhicules...

Belle boucle de 9 km 900 faite par 10 marcheuses et Jacques en 1h 41 et 2 h 08 au total avec 87 m de dénivelé cumulé. Super !!!!

 

L'essentiel de la Légende du Serpent d'Isaby

"....Quand ce dragon se réveillait, il ouvrait son immense gueule et aspirait troupeaux, chiens et bergers. Cependant, un homme courageux du village d’Arbouix décida de réagir. Astucieux, il construisit une forge dans un recoin secret du vallon d’Isaby. Puis, un jour avec l’aide de compagnons décidés, il mit dans le foyer une lourde enclume de métal qu’ils allèrent déposer ensuite devant l’antre du monstre. Celui-ci l’avala aussitôt, comme il l’aurait fait, s’il s’était agi d’un mouton. Le feu se mit dans ses entrailles et il eut tellement soif qu’il but une quantité considérable d’eau dans les torrents voisins. Il en absorba tellement qu’il explosa !

Alors, toute l’eau qu’il avait ingurgitée se répandit au fond du vallon. Ainsi naquit le lac d’Isaby, aux eaux bleues et poissonneuses…"

Photos Rosy

Texte de Dominique PRE-AYMARD

LE SERPENT D’ISABY
Vivait parmi les monts, il y a fort longtemps,
En Davantaigues, tout au coeur du Lavedan,
Un serpent colossal, gigantesque dragon,
Un monstre de plusieurs milliers de pieds de long.
Dans la contrée, son corps, rampant dans les herbages,
Avait façonné un onduleux paysage.
Dissimulé dans les entrailles de la terre,
Ou lové dans son clòt* ou au creux d’un parterre
Qui verdoyait au pied des sommets alentour
Que sont les Soums Arrouy, de Léviste ou Lascours,
Il digérait ses proies en attendant son heure.
Ses soubresauts fréquents, entretenaient la peur
Chez les habitants des hameaux de la contrée
Qui priaient pour ne pas, un jour, le rencontrer.
Lorsqu’il se réveillait, cet animal immonde
Faisait trembler le sol, bien des lieux à la ronde,
Tant étaient enragées ses terribles colères.
Il se dressait alors, fougueux, en un éclair,
La tête redressée, dans un vent de tempête,
Et crachait puissamment, la gueule grande ouverte,
Un souffle incandescent, dont l’haleine fétide
Contaminait l’azur d’une senteur putride.
Et gare à l’imprudent, cela était notoire,
Qui par malheur s’égarait sur son territoire ;
Il n’apparaîtrait plus jamais parmi les siens.
Le serpent dévorait bêtes et paroissiens,
Assidûment, avec la même indifférence.
Le monstre, au fil des jours, se remplissant la panse,
Était bien plus violent, plus fort et gigantesque.
Le tableau devenait affreusement dantesque.
Les bergers n’osaient plus monter vers les estives
De peur que le dragon ne s’éveille et s’active !
Face à l’exode d’une ampleur sans précédent
De montagnards quittant ces monts du Lavedan,
À son de trompe, le seigneur fit annoncer
Qu’à partir de ce jour serait récompensé
Tout habitant qui, par un coup de force hardi,
Nettoierait le pays de ce dragon maudit.
Des hommes courageux, voire même audacieux,
Se munissant de pics, de fourches et de pieux,
Se mirent en chemin vers le « Clòt du Serpent* ».
Mais leur bruit réveilla le funeste occupant
Qui, tête redressée et tout en rugissant,
Balaya aisément d’un souffle ahurissant
Ces hommes valeureux, comme fétus de paille,
Pour mieux les déglutir… La bête fit ripaille.
Le ciel environnant, noircit de bout en bout ;
Un long frisson de fièvre effleura le Nerbiou* ;
Il se mit à pleuvoir, suite à cet acte infâme,
Sur les toits des hameaux et dans le coeur des femmes.
Vers « Maoucasaou* », estives bien nommées,
Plus aucun des bergers ne voulut cheminer.
Ils ne s’en remettaient plus qu’à la providence.
Le seigneur résigné doubla la récompense :
Celui qui, courageux, délivrerait ces terres
De montagne de ce néfaste locataire,
Se verrait gratifier de multiples troupeaux,
De brebis et d’agneaux, de vaches et de veaux,
De juments et poulains, ainsi que de cultures,
Et le droit, pour toujours, d’une libre pâture.
Mais aucun ne voulait, au sein de la vallée,
Risquer sa pauvre vie en étant avalé !
Un jour, un habitant d’un bourg de quelques âmes,
Arbouix, situé au pied du Hautacam,
Annonça au seigneur qu’il était forgeron
Et qu’il ne craignait pas le souffle du dragon,
À celui de la forge, étant habitué.
Il voulait l’affronter et bien sûr le tuer.
Il saisit ses outils et partit dans les bois,
Suivi par une foule applaudissant de joie.
Il grimpa lentement au lieu-dit « la Picotte* »
Petit piton rocheux gratifié d’une grotte
Nommée « Tute Daurade* », en laquelle il entra
Et où, sur son travail, sitôt se concentra.
Il installa sa forge et se mit à extraire
Du versant montagneux des nodules de fer.
Son soufflet ronflant sur un énorme volume
De fer, il façonna une étonnante enclume.
Alors notre petit forgeron, nuitamment ,
S’approchant du dragon qui ronflait bruyamment,
La projeta brûlante, encore rougeoyante,
En un vif tour de main, dans sa gueule béante.
L’estomac du serpent, étant des plus profonds,
L’enclume mit neuf jours pour en toucher le fond.
Le monstre réveillé, jaillit de sa demeure,
De son clòt, en hurlant de rage et de douleur,
Tandis qu’un puissant souffle émanait de sa gorge.
Mais notre forgeron, à l’abri dans sa forge,
Dans sa grotte tapi, ne craignait la colère
Du serpent au puissant souffle caniculaire.
La bête, pour calmer, son ventre supplicié
Par le feu, avala la glace d’un glacier,
Puis repue s’écroula dans les verts pâturages.
L’audacieux forgeron se remit à l’ouvrage.
Sa barbe et ses cheveux roussis par la chaleur,
Il forgea, de nouveau, une enclume sur l’heure,
Qu’il jeta, sitôt prête, en la gueule béante
Du monstre qui bien sûr, la déglutit, brûlante.
Cela dura sept ans ! Au bout de sept années
Le dragon, pour calmer ses tripes enflammées,
Avait ingurgité sept montagnes de glace.
Un jour, il s’écroula, fourbu, de guerre lasse.
Dans son clòt, après un ultime soubresaut,
Son ventre se rompit. Des rejets colossaux
De glace dégelée au feu de ses viscères,
Sur les estives, en tous lieux, se déversèrent.
Le lendemain matin, le serpent était mort.
Les monts ne tremblaient plus. Aux rayons de l’aurore,
Vers « Maoucasaou* », les bergers rassurés
Grimpèrent pour trouver un lieu transfiguré :
Tout au pied des sommets, sur lesquels, qui l’eût cru,
Toute la glace avait pleinement disparu,
Brillait dans un creux, face à leurs yeux ébaubis,
Un splendide et nouveau lac nommé Isaby.
Le monstre anéanti, c’est avec diligence,
Que notre forgeron chercha sa récompense.
Il fut donc gratifié de multiples troupeaux,
De brebis et d’agneaux, de vaches et de veaux,
De juments et poulains, ainsi que de cultures,
Et le droit, pour toujours, d’une libre pâture.
Là-haut, vers Isaby, jusqu’à la fin des temps,
Le forgeron devint pasteur pour très longtemps.
Et passèrent les ans. Bientôt, au pied des crêtes
Près du clòt ne resta plus, de l’énorme bête,
Qu’un tas d’os dispersés, blanchis sous le soleil.
Les gens d’Arbouix, afin de rendre grâce au Ciel,
D’être délivré du serpent, de son emprise,
Décidèrent en choeur de bâtir une église
Avec les os du monstre… et bien mal leur en prit :
À peine les travaux de l’église accomplis,
Qu’un violent coup de vent balaya la vallée,
Que sans interruption, il se mit à grêler.
Après quarante jours, sacrée bonté divine,
De cette chère église, il ne restait que ruines.
On sut alors que le serpent était maudit,
Que toucher à ses os, était, sûr, interdit.
On les brûla et quand, du brasier, la fumée
Monta au ciel, la grêle arrêta de tomber.
Il ne reste plus rien, des os de ce dragon ;
Seul, un, put échapper à la calcination.
Au village d’Arbouix, il est présent depuis,
Surnommé par les gens : « La Pierre de la Pluie » ;
Il est dissimulé dans la nouvelle église !
La légende dit vrai quoiqu’un peu imprécise :
Le serpent n’est pas mort, il est juste engourdi.
Quelquefois, le matin, la nuit, l’après-midi,
Il tressaille ou frémit durant son long sommeil…
Et soudain, un beau jour, carrément, il s’éveille !
En novembre et décembre, en l’an deux mille six,
Par deux fois il a secoué, comme jadis,
Son échine engendrant, de nouveau, l’anxiété
Au sein de la vallée qui l’a senti gronder !
* Clòt : Creux, trou. Le Clòt du Serpent est une dépression au sud du Hautacam. Nerbiou : une des montagnes du massif du Hautacam.
Maoucasaou (Maucasau) : Mauvais Jardin. La Picotte et la Tute Daurade : rocher jouxtant la « Grotte dorée », au-dessus du hameau d'Ortiac
 Tous ces sites figurent sur la carte IGN 1647ET LOURDES.
Extrait de RIMES EN BALADE.
Edition Orbis tertius
© 2021, Dominique Pré-Aymard
ISBN : 978-2-383-176-3

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Commentaire Dominique P-A

Nous étions douze à poser le pied sur le parking de la Fruitière alors que la brume se levait : une demi-douzaine de femmes et deux quarts de douzaine d’hommes ! La parité !

Cheminement le long du tumulte du Gave de Lutour. Passage devant la cabane-tunnel de Pouey Caut. Franchissement de la passerelle qui enjambe le ruisseau de Lanusse provenant du Culaus (cela ne s’invente pas) ! ! ! Petite pause au niveau de la pancarte indiquant « Refuge Russell 1h30 ». Montée enlacés, euh en lacets, sur le sentier Falisse qui longe Lanusse (attention à la contrepèterie !). Nombreuses fleurs et quelques champignons sur le parcours. Petits russellements par endroit sur le chemin. Traversée d’un pierrier et arrivée au Refuge Russell (1980 m) dans les temps impartis ! Ouf ! L’honneur est sauf !

Ce Refuge Russell (appelé à son origine Refuge de Culaus) est le petit frère jumeau de son aîné : le refuge Wallon (Marcadau). Ils sont nés la même année : 1910. L’initiateur de ces deux refuges est Louis Falisse. Si Wallon est posé en fond de vallon, Russell est sis à l’orée d’un plateau boisé : le Clot de Culaus ayant pour décor le Cirque de… Culaus !

Pique-nique à l’ombre du refuge et près d’une eau s’échappant en courant alternatif d’un tuyau. En apéro : Ricard et punch-luzéen-maison agrémentés de morceaux de melon, biscuits salés de formes diverses, « graines à oiseaux », etc... Au cours du pique-nique un sujet de discussion : les champignons (cèpes, girolles, mousserons, morilles…). Nous apprendrons l’affirmation suivante : « En France, tous les champignons sont comestibles. Tous ! Certains… une seule fois » ! Après le café-nougat-choco, micro-sieste (ou sieste-flash) pour certains à l’étage du refuge puis échanges autour des tables de la pièce à vivre. Rangement et fermeture du refuge. Derniers regards, entre autres, sur la Pique-Longue du Vignemale et le Pic de Mayouret. Redescente par le chemin de l’aller.

Moment de convivialité à l’Hôtellerie de la Fruitière devant deux tiers de douzaines de demis (pressions) et une demi-huitaine de chocolats !

Merci à Guy qui a fort bien choisi le lieu et le jour de cette randonnée : montée à la fraîche, dans les bois, sur le bon versant de la montagne vers un refuge qui n’est pas très couru en tant que but de randonnée.

 Photos Dominique P.A

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Commentaire Rosy

Pas de souci pour les 13 marcheurs d'aujourd'hui 👍👍😍😍 de parvenir au parking d'Argelès car le coup d'envoi était à 8h30 (bien avant, les 2 roues!!!).

Et, devinez quoi!!! 😳😳 Nous avions notre maillot jaune, nous aussi A voir dans le reportage photos..... (en plus des photos du site 😉)

Nous nous dirigeons vers St Savin en traversant le lotissement avant la centrale électrique....puis nous longeons le Gave descendant du Val d'Azun pour atteindre la grimpette arrivant à la chapelle de Ste Castère, lieu de la 1ère photo du site....

Après hydratation, nous repartons en direction du "sentier des ânes" sur St Savin.... puis nous progressons, toujours en montant le long d'un petit ruisseau.

"Que c'est beau !!!" s'exclame derrière moi, Gene du Gers 😃 Il est vrai que ce sentier à l'ombre nous rafraîchit un peu et à l'arrivée, nous sommes salués par 2 adorables alpagas....

Petite visite de la place de St Savin pour une 2nde photo 👍👍👍 superbe...

Puis c'est le retour par le même chemin sans encombres ....

Belle boucle de 8 km 700 faite par 12 marcheuses et Jacques en 1h40 de déplacement pour 250 m de dénivelé cumulé. Bravo 👏 👏👏 !!!!

Photos Rosy 

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Commentaire Jean Pierre

La balade proposée aujourd’hui par Manu dans la vallée d’Ossoue à Gavarnie a eu du succès malgré le temps plus que mitigé ce matin au départ d’Argelès : huit montagnardes motivées et leurs cinq chevaliers servants sont montés vaillamment vers un soleil bienvenu, même s’il était plus ou moins prévu…et vers le col historique de la Bernatoire, 2336m, et son pic gardien des lieux (2516) où nous avons déjeuné les doigts de pied en éventail. Retour ensuite par une très agréable boucle dans les vallonnements du lac du Carbal et de la cabane de Lourdes. Bernatoire historique, car comme son homologue de la Pierre Saint-Martin de Béarn, ce col est toujours marqué de nos jours par une transhumance « internationale » de près de mille vaches, les bergers espagnols de la vallée de Broto bénéficiant depuis le XVIIIème siècle de l’herbe française à Ossoue de fin juillet à début septembre. Ce ne fut pas sans mal d’ailleurs, car Ossoue fut d’abord attribuée aux Brotois par une sentence arbitrale de 1575, occasionnant des expéditions punitives des français…Heureusement, un accord signé à Luz en 1744, et confirmé par la Révolution en 1792 partagea les estives d’Ossoue entre les deux communautés pastorales par un cet accès successif aux herbages. Ce compromis donne toujours lieu vers le 28 juillet à un repas de fête à la cabane de Milhas. Un second « Traité des Limites » voulu par Napoléon III rattacha définitivement Ossoue à la France en 1866. Merci à Manu pour cette belle journée…

Photos Manu   Photos Rosy    Photos Thierry   Photos Martine

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Commentaire Anne

15 montagnards se sont levés de bon matin pour affronter le redoutable pic d'Ardiden, l'Hardiden pourrait-on dire, tant ses blocs sont exigeants ! Sans compter ses 1670 m de d + et ses 17 kms...

Dès le début, dame nature nous a joué des tours, avec un brouillard à couper au couteau pour monter à la fruitière... une montée en voiture épique !

Un début de rando sous une petite bruine légère très appréciable, jusqu'au refuge Russel (Russel hut). À partir de là le ciel s'est éclairci, nous laissant découvrir un panorama grandiose (a gorgeous scenery indeed!)

Arrivés à la brèche à 10h15, nous avons entamé la partie la plus redoutable : les blocs. Une équipe du tonnerre, où l'entraide est de mise, ce qui fait qu'à 12h30 nous étions au sommet (the peak).

1 heure de pause bien méritée, afin de retrouver quelques forces pour affronter la non moins éprouvante descente (an appalling one...) et aussi pour admirer quelques-uns des plus grands sommets pyrénéens.

La descente fut longue, la fatigue se faisant sentir, mais que de belles images dans nos têtes ! Et quelle formidable expérience !

Un grand merci à Bernard pour cette magnifique sortie qui restera gravée longtemps dans nos mémoires, c'est sûr. Tout était parfait, jusqu'à la météo.

A Hard but glorious experience, unforgettable!

Photos Annie     Photos Marco  Photos Alain L.