Sortie du dimanche 16/11 Pic de Barassé
annulée cause météo
Pour la rando du dimanche 16 novembre,
inscription obligatoire auprès de Patrice
inscriptions closes

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Commentaire randonnée Pic Crabère et pic de la Bernatoire 06/08/2025.
33 vaillants marcheurs ce 6 août 2025 sur les pentes du pic de la Bernatoire via le pic Crabère, randonnée organisée par notre trio MME. Pour bien fixer l'itinéraire et le timing : départ de l'Espugue de Millas, passage près de la cabane de Lourdes, halte au lac du Cardal, montée au col du même nom, ascension du pic Crabère, descente partielle de celui-ci pour la coupure du déjeuner puis remontée (entorse « au règlement » qui prohibe tout dénivelé positif avec le ventre plein !) par les crêtes au pic de la Bernatoire avant le retour par le col éponyme et la longue vallée de la Canau.
33 comme le département de la Gironde, 33 Girondins en somme, en même temps que Montagnards. Vous voyez la référence (faisons un peu d'histoire) à l'assemblée nationale pendant la Révolution française qui vit les députés regroupés en haut de l'hémicycle et appelés pour cette raison Montagnards s'opposer sur le plan politique aux Girondins connus notamment pour leurs origines bourgeoises, et ce bien qu'ils s'accordassent sur le refus de retour à l'Ancien Régime. Mais leurs profonds différends conduisirent à la répression par le sang : la Terreur.
Fermons cette parenthèse historique pompeuse pour en venir à conclure qu'on peut être en même temps Montagnards et Girondins. Pour preuve le fonctionnement du groupe ce jour qu'on peut étendre à l'ensemble des sorties chez les MA. Pris individuellement, nous ne sommes pas d'accord sur tout, mais collectivement ressortent toujours les notions d'intérêt porté à la situation des uns et des autres, de partage lors des pique-niques et pots de fin de rando, et d'entraide lorsque les difficultés se présentent pour certains d'entre nous, sur les crêtes notamment.
Pour autant et heureusement, des quiproquos viennent parfois nourrir la vie du groupe et donner un ton plus humoristique à ce commentaire.
Du genre dialogue de sourds :
« Vous voyez le pic pointu là-bas, c'est notre premier sommet » (dixit un organisateur).
« Ah ! Je pensais qu'on ne passait pas au pic Pointu. » (dixit un marcheur).
« Mais on ne passe pas au pic Pointu ! ».
« Pourtant tu viens de nous montrer le pic Pointu où on va !»
« Mais non, c'est le pic Crabère ».
« Il faudrait savoir, c'est le pic Crabère ou le pic Pointu ? »
« C'est le pic Crabère mais il a une forme pointue ».
Ouf, on s'y retrouve. Heureusement que le pic de la Bernatoire n'est pas trop arrondi, sinon on avait droit au même échange avec le pic Rond, situé dans le même secteur et pas très loin du pic Pointu….. Vous êtes perdus, ce n'est pas grave, fin de l'histoire.
Dans la même veine, autre méprise sur l'altitude du pic Crabère qu'une montagnarde voulait judicieusement inscrire sur le cairn sommital pour pallier l'absence d'inscription. Une erreur fut commise, et pas petite, un demeuré s'étant trompé de 70 mètres dans la lecture de la carte. Bon, la rectification a été faite à temps et avec dextérité (voir photo) : 2 589 m qu'on se le dise. Et tant qu'on y est : 2 517 m pour le pic de la Bernatoire.
Pour résumer, 12 km et 1 050 m de dénivelé positif dont certains grimpés « en vrac ». Nouveau concept, qui n'a rien à voir avec l'écologie, mais signifiant simplement que lorsque nous étions à découvert sur une pente herbeuse, chacun pouvait choisir sa trace et son rythme, sans esprit de compétition. Le tout fut clôturé par un bain de pieds dans le gave d'Ossoue pour la plupart et par un bain de siège à la Rika Zaraï (que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître) pour les plus téméraires.
Enfin un grand merci collectif des Girondins Montagnards pour cette belle journée et surtout si nous ne sommes pas 33 les prochaines fois, ça ne changera rien à nos valeurs communes.
Photos Jean Michel Photos Marco Photos Annie Photos Frèdy Photos Monique M Photos Sylvie
Commentaire Annie
" Désirée, oh, désirée
Tu portes bien ton nom
Désirée "
Je ne sais pas si vous vous rappelez de cette chanson de Gilbert Bécaud dans laquelle il s'adressait à une femme.
Vous allez penser, quel est le rapport ?
Tout simplement, cela faisait 3 années consécutives que cette randonnée était au programme et qui n'avait pas pu se réaliser..
Inutile de vous dire que nous l'attendions de pied ferme.. Désirée
C'est fait!
Les 21 MA garderont un souvenir inoubliable de cette sortie, un soleil radieux, une approche exigeante de la haute montagne.
Départ du Plaa d'Aste , il est 7h pétante et c'est d'un bon pas que nous démarrons, il faudra tout de même..calmer les ardeurs de certains !
Je vous passe les détails, Suyen, refuge Ledormeur, plateau de La Pacca et ensuite😨😨 que du hors sentiers, c'est raide, des cailloux où il y a fallu faire très attention à la chute de pierres.
Les isards nous épient depuis leur promontoire, curieux de voir cette ribambelle d'humains en plein effort.
Plus nous montons et plus le décor est sauvage, des blocs encore des blocs que nous franchissons " tant bien que mal " c'est sûr..nous n'avons pas l'agilité des isards 😀.
L' approche est longue, dans ce dédale de blocs, ça monte, ça descend même si nous avons"en visu" le col, nous mettrons un certain temps à l'atteindre.
Enfin, nous y sommes, panorama grandiose sur le massif du Balaitous, face à nous Le Palas, etc..
Nous profiterons pendant une heure de ce décor..faut dire que nous n'y reviendrons pas de sitôt.
Il va falloir descendre versant le Larribet, descente prudente, très prudente, des blocs, toujours des blocs, encore merci à nos montagnards qui nous ont aidés.
Puis retour sur le sentier des vaches avec les touristes 🤯.
Pot bien mérité à Arrens chez Jean-Pierre.
En résumé :
- 10h30 de marche avec plusieurs pauses
- 1h d'arrêt pour le pique-nique
- 1280m de dénivelé
- 16 kms
Un grand merci à Gérard qui tenait tant à nous y mener avec son acolyte Jean-Louis, toutes les conditions étaient réunies ( météo exceptionnelle, des vues incroyables comme les aiment les montagnards)
Bravo à tous pour votre bonne humeur, votre entraide👏👏👏
Commentaire Rosy
Pour choisir la destination d'aujourd'hui, c'est très simple....Nous mettons le nez vers le soleil, soit Pierrefitte, et tournons le dos à Lourdes.😉😉😉..
D'un bon pas, nous traversons le Sailhet, côté terrains de tennis pour éviter le goudron devant la piscine, et poursuivons sur la voie verte jusqu'au premier embranchement. Certains ne connaissent pas la "Pierre des 5 communes" donc nous nous engageons sur le sentier à travers les champs fraîchement fauchés...
Petite halte au niveau de la pierre et nous repartons vers Pierrefitte en direction de la fresque du "Serpent d'Isaby"
L'allure est toujours dynamique et nous atteignons l'ancienne gare, avec la fresque que vous admirerez en décor de notre photo de groupe.
Le retour se fait par le même chemin et sans encombres.
Belle boucle de 10 km faite par 17 marcheuses et marcheurs en 1h 43 de déplacement. Bravo à tout le monde 👏👏👏
Qui regarde trop la météo.... maxime bien connue des MA 😉
Justement, ce matin, la météo ne semblait pas trop mauvaise : elle annonçait un temps plutôt couvert, mais sec, sur la vallée de Campan.
Pourtant, les essuie-glaces ont fonctionné sur quasiment tout le trajet.
Et K Ways, couvre-sacs, ponchos et chapeaux ont été sortis par les 22 montagnards dès le départ de la randonnée à la Séoube.
Un petit sentier s'élève en sous-bois vers le Sarrat de Bon et rapidement, les couches superflues regagnent les sacs. Les nuages et bancs de brume sont encore nombreux et cachent les sommets, mais l'humidité ambiante diminue.
Vaches, chevaux, ânes, chèvres, paissant paisiblement regardent passer ces curieux bipèdes, encombrés de bâtons et de sacs à dos.
Le Courtaou du Sarroua est enfin atteint. Belle cabane de pierres que nous visitons tour à tour, elle est bien aménagée pour abriter un berger à l'étage et son troupeau au rez-de-chaussée.
Tout autour, une dizaine de vestiges d'autres courtaous sont repérables, témoins de l'intense vie en estive. Autrefois, les bergers de Campan y passaient la belle saison et fabriquaient le beurre. Le lait était conservé au frais dans les leytés, sortes de niches en pierre où circule l'eau du torrent. (ancêtres de frigos, chez nous, on les appelle des cabénères)
Après le pique-nique pris un peu plus haut (rien ne manquait, je vous l'assure 😉), nous descendons vers un autre courtaou, celui des Esclozes. Ce hameau pastoral comptait autrefois 19 unités dont certaines sont fort bien restaurées. Ce fut le lieu de notre photo de groupe.
Le sentier du retour se faufile à travers de grandes fougères et nous regagnons nos voitures en admirant de superbes granges aux toits à penaous, typiques de cette belle vallée
Pour une sortie au pied levé, ce fut vraiment une réussite.
Merci infiniment à Patrice ainsi qu'aux serre-files, Michel et Thierry
Très agréable boucle de 14 km et 585 m de dénivelé positif.
Ce jeudi nous étions 16 marcheurs pour effectuer ce parcours de 9km800
C'est un parcours en "raquette" des plus classique. Il faut dire que le plafond bas ne nous engage pas à la fantaisie!!
Départ par le Balandrau et nous empruntons le "canyon" pour rejoindre Salles. Le "canyon" c'est ce charmant chemin encaissé et très coriace qui nous conduit à l'entrée du village de Salles. Nous traversons le village, poursuivons jusqu'à Ouzous et entamons le retour vers le Balandrau
A bientôt Michelle
34 montagnardes et montagnards sont d’attaque ce matin.
Le pont à Arcizac es Angles étant en travaux nous faisons une variante via Lézignan, Bourréac et Paréac, circuit bien connu des cyclistes.
Après avoir longé le lac de Payolle, la compagnie au complet ( personne ne s’est perdu) se gare aux cabanes de Camoudiet.
Le pic de Crabe ou Mont Fevoll étant plein ouest, nos amis de la team MME nous dirigent vers le nord avec une première montée quasiment hors sentier. Quelle drôle d’idée ?
Si ce n’est que de réaliser une belle boucle cheminant via le Pla de l’Arcouade ( agrémenté de la fidèle pause banane), le Pla des Bouhouèrés, passage au pic de Crabe puis descente au col de Crabe. Dans ces lieux les troupeaux sont rois, chevaux, moutons, vaches, MA … les pentes sont douces et larges, l’herbe y est fraiche mais parsemée des multiples déjections animales : une séance nettoyage des chaussures s’imposera ce soir.
Allez ! Un dernier effort pour atteindre le lac d’Arou et cascroûter dans la bonne humeur. Rien ne manque.
Le temps se bâche sur les sommets et quelques brumes coiffent les pics. Il est temps de repartir. Nous continuons donc cette boucle commencée le matin et revenons par le sentier rejoignant la Hourquette d’Ancizan et un peu avant de l’atteindre nous plongeons au niveau de la coume Talamet.
De nouveau un peu de hors sentier, passage des ruisseaux d’Artigou, tout le monde a sauté de pierre en pierre tel des libellules, et final en remontant le Sarrat de l’Artigou d’où nous avons nos véhicules en visu.
Une belle randonnée de 12km et 760m de dénivelé conclue par une avalanche de pâtisseries et gâteaux. Il faut bien récupérer les calories perdues.
Merci aux MME pour cette sortie avec encore une fois une particularité « autrement »
Thierry
Photos Annie Photos Sylvie Photos Thierry Photos Eric Photos Marco
Commentaire Rosy
Un samedi plein de surprise en cette fin juillet !!!...
D'abord, nous avons le plaisir de revoir Babeth et Stéphanie ainsi qu'Alexandre.👌👌👌....puis nous accueillons un nouveau marcheur, Jean-Marc d'Argelès qui a entendu parlé de la Marche Nordique, avec les Montagnards Argelésiens, et qui souhaite découvrir l'activité...
Après le classique échauffement, pour les habitué(e)s, et la découverte, pour Jean-Marc, nous prenons la direction du bord du Gave jusqu'au Pont de Tilhos. En suivant la rive gauche, nous arrivons au Pont en fer, en ayant soigneusement évité la "douche" 😉😉😉 du côté de la scierie Sanguinet qui arrosait les grumes....
Notre débutant ne ménage pas ses efforts et l'allure du groupe semble lui convenir..👍👍👍
Nous arrivons à Boô, étape "surprise" de notre sortie car, ayant contacté une personne du village, l'église nous était ouverte pour une visite.. Vous l'aviez certainement deviné, en regardant la photo de groupe 😉😉😉
Depuis longtemps, nous avons fait des photos en contre-bas de l'église en nous demandant, pour la plupart, comment était l'intérieur?!!! Aujourd'hui, notre curiosité est satisfaite car nous avons pu entrer, admirer et contourner le lieu pour la première fois...
Après cette visite, nous prenons le chemin du retour et croisons la voie verte en direction du bord du Gave.
Retour sous un soleil qui commence à bien chauffer....Après le Pont en fer et le contournement du laquet d'Ayzac-ost, nous arrivons sans encombres à nos véhicules.
Boucle de 9 km 300 faite en 1h 39 de déplacement et 2h 10 au total par 13 marcheuses et marcheurs.
Bravo à tout le monde 👏👏👏
Commentaire Annie
26 MA au départ de cette randonnée, alors que la pluie était au rendez-vous à Argelès, sans parler du déluge sur la route (double voie menant au point de rendez-vous)
Qui l'eût cru?
A trop regarder la météo..on reste à la maison🤔.
Que risquions-nous?
Un peu de pluie !
Surtout que les montagnards avant-gardistes avaient eu la bonne idée de téléphoner à notre GO Marie qui nous attendait chez elle, dans le Val d'Azun où il fait toujours beau..paraît- il?
Faut pas exagérer, le soleil était aux abonnés absents mais il ne pleuvait pas..
C'est une joyeuse cohorte qui démarre du Plaa d'Aste sous la houlette de Marie.
La montée se fera prudemment, la brume est présente, l'humidité est de la partie et les cailloux sont glissants.
Petite pause à La Claou, les brebis sont juste au dessus de nous et regardent ces bipèdes assez bruyants😀😃.
Malheureusement pas un isard en vue, juste le sifflement des marmottes à notre passage que nous ne verrons pas.
La montée à la Toue de Larribet sera agrémentée par la cueillette de framboises de chaque côté du chemin.
Pour le pique-nique, des rochers immenses et plats nous attendaient juste en dessous de la Toue.
Comme d'habitude, ce fut très convivial, il manquait juste le soleil qui fit son apparition au moment du retour et ne nous quittera plus jusqu'au parking.
Au niveau du lac de Suyen, deux groupes furent formés, Marie descendra par la gauche du lac et l'autre groupe par le même chemin emprunté le matin avec moi😨😫.
Tout est bien, qui finit bien!
Pot chez Jean-Pierre
Bilan de la journée :
- 340m de dénivelé positif
- 7,8kms
- 26 montagnards ravis
- pas de chutes
- pas de pluie
Merci Marie 👍
Les nuages sont bas avec parfois un peu de crachin cependant la pluie de la nuit n'a pas détrempé les chemins
Nous partons vers Gez via le saut du procureur et la ferme des lapins Ricard. On rejoint les chevaux du Bourdalat et poursuivons vers Ayzac-Ost. Retour par la plaine, le chemin du comte et le jardin du casino
Nous étions 11 pour ce parcours de 10km200
A bientôt Michelle
Commentaire Didier
Rien de pire que la routine pour la vie de couple ou de groupe ! Pour casser le train train-quotidien, il faut parfois savoir pimenter l'ordinaire en faisant les choses différemment.
Les Montagnards Argelésiens, n'échappant pas à cette règle, ont pu en faire la salutaire expérience ce dimanche 20 juillet. En effet, le Piméné, maintes fois grimpé, était au programme, mais affublé cette fois d'une mention spéciale concoctée par Marco et Michel : « autrement ».
En lieu et place de l'itinéraire habituel partant de Gavarnie et menant au sommet via le refuge des Espuguettes et le Petit Piméné, départ du barrage des Gloriettes, parcours « autrement » : montée en contournant toute la montagne de Coumély puis retour par la Hèche d'Or. Randonnée « autrement » plus rude avec essentiellement du hors sentier et ses pièges, un couloir très redressé dans sa partie finale pour déboucher au col de la Hosse, la crête par l'arête nord-est et une descente en zigzags pour slalomer entre les barres rocheuses surplombant le vallon d'Estaubé. Le tout demandant 7 heures d'efforts pour 16 km et 1 200 m de D+.
Pour autant, après notre passage, le Piméné conserve son nom et ne s'appelle pas « autrement ». Les 16 marcheurs n'ont pas non plus sacrifié aux rites habituels de la photo de groupe au sommet, de l 'apéro avant le pique-nique ou du classique pot à Gèdre dont le paiement proposé « autrement », probablement en monnaie de singe, fut refusé. En revanche, pouvons-nous noter que le partage des pâtisseries ne fut possible que grâce à l'apport de deux randonneurs (s'entendant de sexe masculin), ayant supplanté « autrement » et avec succès les pâtissières traditionnelles.
Au final un bon équilibre entre nouveautés et respect des fondamentaux et un commentaire ordinaire, qui s'il avait été écrit « haut treu mant » eut été incompréhensible.
Commentaire Annie
43 montagnards ont répondu présents à l'appel du trio du Val d'Azun pour une journée grillades au plateau de Bouleste.
Les cieux étaient avec nous:
- soleil garanti
- fond de sac à dos où il ne manquait rien sur les conseils avisés de Gérard (rappel par mail)
- ramassage du bois par tous les participants, même les plus jeunes
- feu démarré rapidement, Gérard a bien essayé la méthode préhistorique mais il a été bien plus judicieux d'utiliser les allumettes..
- les grilles bien remplies de différentes saucisses, ventrèches, brochettes, côtes d'agneau ont satisfaits nos estomacs
- l'accompagnement de toutes ces grillades n'a pas manqué😋😋, nous nous sommes régalés.
- trempette dans le ruisseau
- le plaisir de se retrouver et de faire connaissance aussi
Après ce grand moment de convivialité, le groupe s'est scindé en deux, un groupe est rentré par le chemin classique ( le matin, nous étions tous montés par le sentier menant à Pouey Laun) et l'autre groupe est descendu par le chemin où se trouvait sous nos pieds une conduite que connaissait bien nos montagnards pour y avait travaillé..photo acrobatique sur la conduite.
Au retour, nous ne pouvions pas nous quitter sans faire un détour par notre QG chez Jean-Pierre.
Merci au Val d'Azun (Gérard, Michel, Jean-Louis et Dominique)
J'allais oublié notre serre-file du jour, pardon notre serre fille Thierry 😀😂🤣😉
Aujourd'hui le challenge c'est de terminer dans les temps. Contrat rempli car nous étions de retour à 10h50
C'est que le Tour De France et l'arrivée à Hautacam ont attiré une multitude de passionnés qui ont perturbé la quiétude habituelle d'Argeles
Nous étions 12 à nous élancer sur le parcours via le Balandrau, puis montée sur Gez (le chemin est toujours aussi raide!!!). Nous poursuivons vers Serres puis Salles. Retour par "le canion", chemin encaissé et rocailleux qui rejoint le Balandrau
Agréable parcours, ombragé, de 10km500
A bientôt Michelle
Commentaire Annie
Aujourd'hui, la randonnée fut riche en observations, en contemplations et en informations.
Petit comité, 8 montagnards (parité respectée).
Le choix fut vaste, les uns intéressés par la géologie (les fossiles), d'autres par la flore et quelle flore!
Des iris, des saxifrages, des chardons, des édelweiss au pied du Pène de Peyreget à profusion, les photographes s'en sont donnés à cœur joie, s'en nommer tous ces lacs et sommets que nous avons eu le bonheur de reconnaître 🤔😉 pour y avoir été ou pour les avoir gravi..
Le pic du Midi d'Ossau fut photographié de tous côtés, tellement imposant et surprenant suivant les différents angles👍
Par contre, notre GO Martine avait omis de nous préciser que 50% de l'itinéraire était hors sentiers, il a fallu remonter après le pique-nique et "Dieu sait" que les montagnards argelésiens n'apprécient que moyennement 😬 ces " remontadas "😝😜😛 mais nous lui pardonnons ces oublis, les fleurs, les fossiles, le panorama grandiose et le soleil ☀️ ont largement gommé cette amnésie...
Pas la peine de vous détailler la randonnée..Il fallait venir !
Merci Martine, des randonnées d'une telle variété, on en redemande..la vallée d'Ossau est une merveille 🤩🤩🤩
Dénivelé 910m et 15km
Photos Jean Michel Photos Annie Photos Reco Martine Photos Martine
Commentaire Rosy
Au rendez-vous de ce matin, nous avons le plaisir de revoir Jocelyne, après son périple sur le chemin de St Jacques, Monique notre "Mascotte" et Alexandre, notre jeune recrue.
Données météo disant que l'orage et la pluie seront chez nous en début d'après-midi, nous partons confiants et sereins, vers la montée de Ste Castère, en longeant le camping d'Ulrike, notre marcheuse de Hanovre et adhérente aux Montagnards Argelésiens depuis fort longtemps...
D'un pas dynamique, nous grimpons d'abord vers Ste Castère que nous laissons sur la droite puis nous nous dirigeons vers le sentier des ânes .... que nous laissons à nouveau, sur notre droite, pour atteindre St Savin et le lieu panoramique de la photo d'aujourd'hui...
Vous aurez, sûrement, vu ......que dans le fond, vers les gorges de Luz....tout s'assombrissait....😳😳😳
Effectivement, en prenant la descente vers le "Cabénère d'Adast", nous entendons des coups de tonnerre et quelques gouttes de pluie mouillent nos vêtements....
Aussitôt, nous mettons nos leviers de vitesse sur la 5ème.... voire la 6ème... pour rejoindre nos véhicules...
Comme d'autres précédentes sorties, nous partîmes "tout sec" ....et revîmes "trempés" !!!!
Telles sont les joies des activités de pleine nature 😘😘😘😘
Boucle de 9 km faite par 22 marcheuses et marcheurs en 1h 35 de déplacement , 2h avec les arrêts et 300m de dénivelé cumulé...
Bon dimanche et 14 juillet à tout le monde...
Semaine prochaine...TOUR DE FRANCE sur Argelès et les environs
Sortie jeudi avant la fermeture des routes PAS DE SORTIE SAMEDI 19 JUILLET
REGARDEZ LE FLASH INFOS SUR LE SITE S'IL VOUS PLAÎT.....
C'est une nocturne, une initiative nouvelle qui, à l'évidence, n'a pas rencontré un fort engouement puisque le groupe se limite à 13 participants
La nature, par contre, nous a offert sa collaboration de la façon la plus spectaculaire possible. Une agréable chaleur nous accueille et nous escorte lors du périple à l'aller, puis au moment du repas, juste en face de nous, une féerie de couleurs accompagne un sublime coucher de soleil, couleurs qui se diffusent dans le ciel et vont auréoler le Pic du Midi. Splendide!!!
Sur le chemin du retour , face à nous, la lune est apparue sur la ligne d'horizon pour devenir progressivement un cercle parfait dans le ciel sombre
Madame Nature a tenu ses promesses et nous a enchanté.
Une agréable soirée dans une ambiance joviale
Le trajet: depuis le parking de Tramassel on emprunte les pistes de ski de fond puis le chemin de crête pour atteindre le pic de Hautacam et la cabane des Sangliers
Retour par les pistes de ski de fond
11 km et 250m de dénivelé
A bientôt Michelle
Commentaire Annie
C'est avec une réelle envie que je reprends la plume pour le plus grand plaisir de mes lecteurs...😉
Quoi de mieux pour revenir :
- une belle randonnée à portée de tous,
- une organisatrice très appréciée,
- le retour d'une montagnarde avec qui nous avons passé des moments inoubliables,
- notre amuseur numéro 1 qui n'en loupe pas une, faut dire qu'il a son public😂🤣😃.
Départ de Tournaboup, nous sommes nombreux mais Mireille, notre GO, accompagnée de son fidèle serre-file Guy va gérer.
La randonnée est longue mais agréable, nous passerons à la cabane de la Pègue, nous longerons le lac de Coueyla-Gran, petite pause au refuge, nous reprenons le rythme donné par Mireille, un quart d'heure de plus et l'objectif est atteint par les 30 montagnards👍.
Dommage les fleurs sont en fin de course en cause ces dernières chaleurs, les iris et les gentianes jaunes sont déjà fanés.
Après les 8kms parcourus, nous voilà arrivés, toujours le même rituel, la photo de groupe, la pause pique-nique et ses douceurs, un paysage qui ravive des émotions, des souvenirs heureux.
C'est cela les randonnées avec les montagnards argelésiens, certes, nous sommes beaucoup mais chacun y trouve sa place, le bonheur de se retrouver et de partager des moments très conviviaux..
Au retour, trempette au ruisseau afin de soulager nos pieds douloureux et pas que!
Pot à Tournaboup, merci pour les gâteaux appréciés par tous, peut-être pour certains encore plus 😋😋😋
Dénivelé 750m, 16kms
Le tonnerre gronde, quelques gouttes de pluie, une chaleur lourde, une météo très incertaine en ce début de matinée
19 personnes pour s'engager sur ce circuit de 10km700
Nous partons le long du gave rive gauche. Au pont de fer nous continuons sur la rive droite vers Lourdes. Les chemins sont larges et ombragés, l'allure soutenue malgré une atmosphère moite, et nous poursuivons notre progression dans une zone le long du gave jusqu'à rejoindre la voie verte au delà de Bôo Silhen
Au retour quelques gouttes sont venues nous rafraichir
A bientôt Michelle
Commentaire Pascual
À nouveau, ce matin, petit-déjeuner à l’heure des touristes, 8h30. Rien ne sert de se presser, il a plu cette nuit et la météo est incertaine toute la journée. On sent les GO un peu inquiets.
Destination le secteur Est de la chaîne des Picos, que nous n’avons pas encore exploré, 16kms et 1000m de dénivelé à gravir en voiture. Dès le départ, nos chauffeurs engagent une course poursuite avec les nuages qui semblent tout proche. Objectif, les traverser le plus vite possible pour ressortir au soleil. Hélas, plus on monte, plus les nuages nous fuient. On entre tout juste dans la couche nuageuse avant d’arriver au grand parking, point de départ de la rando, à 1283m d’altitude. Trop tard. On est dans un brouillard épais et mouillant, il fait 12 degrés.
Malgré tout, les GO restent optimistes (façon méthode Coué), « au moins il a arrêté de pleuvoir depuis la dernière fois qu’on est venu », disent-ils.
C’est harnachée pour la pluie, que la petite troupe résignée démarre en empruntant un large chemin.
On ne distingue pas grand chose. Des vaches et un gentil Patu (voir premier jour pour la prononciation) équipé de son collier à clous anti-loup.
Avant de quitter le chemin et de prendre un petit sentier sur la droite, les GO nous refont le coup de l’exhibition de guêtres. La végétation est trempée, les bruyères et autres genêts encombrent le sentier par endroits… finalement c’est utile les guêtres.
Il est 11h26, nous sommes à 1700 m d’altitude et marchons têtes basses dans l’épais brouillard mouillé depuis presque 2 heures. Tout d’un coup, Bingo, une lueur apparaît, nous traversons les nuages. Très rapidement nous sommes au grand soleil et sortons du brouillard. Tous les sourires reviennent sur les visages, vraiment trop forts nos GO !
L’environnement se transforme en prairie d’estive à l’herbe rase. Des isards fuient dans les rochers, gravissent la montagne en quelques bonds, et nous observent un instant de là-haut.
Nous les suivons plus laborieusement, mais finissons par arriver à notre premier sommet, le Boru à 2129m. Il est 12h45 et nous déjeunerons là pour profiter de la vue. Surgissant de la mer de nuages, la partie Ouest du massif est superbe, nous y distinguons les lieux de nos exploits des deux premiers jours: la Peña Castil et l’Urriellu (Bulnes ).
Après le picnic, nous nous offrons en dessert la montée du Cuetu Tejau, tout proche, culminant à 2160m.
Le retour se fera en reprenant le chemin en sens inverse. Nous retrouvons le brouillard là où nous l’avions laissé et parcourons à nouveau dans la brume toute la partie finale jusqu’au parking. A l’arrivée aux voitures, la température est la même qu’au matin, glaciale.
En définitive, le bilan de la journée est inespéré, la météo nous a été une nouvelle fois favorable, avec des vues inédites et pleines de charme au-dessus de la mer de nuages.
Les stats du jour: 9 kms et 900m de D+
Adios les Picos.
Muchas gracias les GO.
Commentaires Pascual.
Ce matin petit-déjeuner à l’heure normale, c’est-à-dire 8h30. Cela laisse présager une petite journée tranquille, en l’occurrence, la randonnée classique au départ de Poncebos: la ruta del Cares aller/ retour.
Le départ est à 1 km environ de Poncebos. On s’y rend en voiture (on a dit journée tranquille).
La troupe s’engage sur le chemin qui a été aménagé pour réaliser puis entretenir le canal d’amenée d’eau à l’usine hydroélectrique de Poncebos. Nous remonterons ce bon chemin durant 12 kms jusqu’à la prise d’eau dans le río Cares.
Le temps est couvert, la température douce, de fines gouttelettes nous rafraîchissent agréablement le visage.
Le chemin, à flanc de montagne, surplombe la rivière, et offre des vues grandioses sur le cañon. Le canal, traversant la montagne par de nombreux tunnels, se découvre de temps en temps le long du chemin.
Les arbres et arbustes, en grande diversité (chênes verts, noyers, arbousiers , frênes , tilleuls , sureaux, aubépines, etc…), s’accrochent à flanc de rochers dans des positions acrobatiques. Un animal règne en maître dans cet univers: les chèvres. Elles sont partout, y compris sur le chemin.
Vers le km 8, la montagne s’est effondrée en 2012, entraînant dans sa chute une vingtaine de mètres de sentier. Une passerelle suspendue, dont la traversée est très impressionnante, a été réalisée pour combler le trou.
On arrive tout près de la prise d’eau du canal, mais il est déjà 13h, et les GO ont repéré un endroit enchanteur pour le picnic au bord de la rivière Cares, aux eaux bleues et limpides.
Après le picnic on reprend le sentier qui traverse plusieurs tunnels un peu plus longs. Ceux qui ont la lampe frontale peuvent la sortir (pour la frime).
On arrive rapidement au petit barrage alimentant le canal. Sur le côté un ascenseur à poissons permet aux truites de franchir l’obstacle.
Juste après on aboutit au petit village touristique de Cain de Valdeon (kilometro 12) objectif ultime de la rando. Les GO nous donnent 20 mns (ca rigole pas !) pour faire les boutiques et boire un café.
En effet il ne faut pas trop traîner car la pluie menace toujours dans Les Picos, et il faut faire tout le retour en sens inverse.
Pour le retour, c’est simple, vous reprenez tous les commentaires ci-dessus en sens inverse, vous rajoutez un bouc et une vipère, vous retirez le picnic, et vous avez une parfaite description des 3h15 du retour.
Au final une bien belle et fort longue étape de transition (comme dirait Jalabert), sans pluie, sans chaleur excessive, qui totalise 24 kms et un petit 560m de D+.
Hasta mañana para la continuation de nuestra aventura.
Commentaires Pascual
Pour ce deuxième jour, les organisateurs nous proposent encore une superbe rando vers l’un des sites mythiques de la chaîne, le Picu Urriellu (alias Naranjo de Bulnes), culminant à 2518 m et haut lieu d’escalade de renommée mondiale.
De notre camp de base (Hostal Poncebos) il nous faut d’abord prendre le funiculaire de 8h30.
Pour cela nos expérimentés organisateurs ont réussi à négocier un HNAPT ( voir traduction dans commentaire d’hier) exceptionnel de 7h45 pour le petit-déjeuner.
C’est donc aisement que notre petit groupe embarque sur le premier funiculaire de 8h30 qui nous amène 402 m plus haut au petit village touristique de Bulnes (désenclavé uniquement par le funiculaire). Nous y arrivons 10 mns plus tard au chant du coq (les coqs espagnols ne sont pas matinaux).
C’est là que démarre notre randonnée, altitude 630m.
L’équipe d’organisateurs, échaudée par leur reconnaissance de l’an dernier, s’équipe de guêtres XXL, c’est impressionnant.
Nous nous élançons dans la sente qui monte dans la végétation le long du lit d’un petit torrent à sec. Le temps est frais, des brumes s’accrochent de ci delà aux pans de montagne, la montée est très agréable.
En définitive l’absence d’eau dans le torrent, l’absence de rosée, une végétation bienveillante, donneront raison aux insouciants qui sont montés les mollets à l’air.
Vers 850m nous débouchons sur un large vallon, le ciel se dégage complètement, puis nous apercevons au loin el Urriellu qui se dresse dans le ciel bleu, c’est magnifique.
Le vallon est parsemé de fleurs, et nous pouvons admirer, entre autres, un magnifique spécimen de lys des Pyrénées, jaune à pistils oranges.
Ce n’est qu’au bout du vallon que nous retrouvons la pente et le soleil. A partir de là il fait chaud et la ballade devient plus sportive. Nous passons un premier passage technique équipé d’un solide câble. Vers 1350 m, nous profitons d’un gros rocher à l’ombre, qui a conservé toute sa fraîcheur de la nuit, pour faire une halte prolongée avant d’attaquer la partie la plus difficile de la rando.
Ca devient vraiment difficile, on traverse d’abord une zone de rochers avec plusieurs petits passages techniques, puis on poursuit dans des éboulis, dans lesquels on teste l’adhérence de nos semelles à chaque pas. Devant nous el Urriellu se dresse de toute sa hauteur. Enfin, juste au pied del Urriellu , nous arrivons au refuge, altitude 1955m, le point le plus haut de notre randonnée. Il est 14h05, mais tout notre petit groupe est arrivé uni. Bravo à ceux qui ont dû serrer les dents pour arriver là-haut.
Nous expédions le picnic en une demi-heure heure, car il est déjà tard et le retour en boucle par le chemin des muletiers sera encore long.
Le chemin de retour descend progressivement à flanc de montagne. Au détour d’un virage nous surprenons un izard à 10m de nous.
Nous quittons le chemin des muletiers vers l’altitude 1500 m où se situe un nouveau refuge.
Le sentier traverse une zone de pâturages et pique droit vers le village de Bulnes. Les troupeaux de vaches en estive nous régalent de leurs concerts.
Au moment où nous entrons dans la partie finale boisée de la descente, une averse d’une dizaine de minutes nous saisie et rendra les grosses pierres rondes du chemin très glissantes. Il faudra être vigilant tout le long des 400 m de dénivelé restants.
Nous arrivons enfin au funiculaire, nous pouvons prendre la rame de 19h.
Tout le monde est assez fatigué mais quelle rando magnifique !
Bilan du jour: D+ 1400m. et 16,5 kms au compteur.
Photos Marco Photos Jean Michel Photos Martine